1. Une collègue a besoin de réconfort (3)


    Datte: 04/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... bras devant sa poitrine pour serrer la robe contre ses seins. Elle finit par dire en baissant les yeux, de peur de croiser mon regard : « bon... Je vais l’essayer puisque tu l’as achetée pour moi... ».
    
    Je sentais ma queue palpiter dans mon pantalon... L’imaginer porter cette tenue... Ah Célia !
    
    Toujours tête basse, les yeux rivés au sol, elle me repoussa hors des toilettes et s’y enferma.
    
    Je restais dans le couloir en entendant ses vêtements tomber au sol. Mon sexe était tendu, j’avais chaud... Célia... Célia ! Oui ! Je vais la voir en hôtesse de l’air ! Dans mes rêves les plus fous, je n’avais même pas osé croire qu’elle le ferait...
    
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    Elle entrouvrit enfin la porte.
    
    — Tu te moques pas Chouchou ?
    
    — Mais non enfin !
    
    — OK....
    
    Elle sortit enfin. Elle se tenait en face de moi, cachant ses mains dans son dos, comme pour dissimuler sa gêne. La robe, qui s’ouvrait sur le devant par les boutons dorés, moulait son corps. Ce corps si gracieusement plantureux, si délicieusement charnu, mais sans excès : ce qui procure chez elle ce charme peu commun. Ses seins légèrement dodus dessinaient deux formes bombées sur le haut du vêtement, le bas retombait quelques centimètres à peine sous ses fesses généreuses à souhait, et si divinement rebondies... Ses cuisses et ses jambes étaient exposées à ma vue !
    
    C’était un vrai régal pour les yeux. Je m’imaginais lui retirer son costume pour la prendre tout de suite !
    
    — Ça te plaît ...
    ... chouchou ? dit-elle d’une voix douce et timide, se pinçant les lèvres et regardant toujours le sol. Je m’approchais d’elle, relevait son menton entre mon pouce et l’index :
    
    — tu es magnifique Célia.
    
    Je l’embrassais du bout des lèvres, puis je laissais mes mains sur ses fesses, que je commençais à pétrir.
    
    Je l’embrassais toujours, mais résolument : à pleine bouche.
    
    Célia attrapa mes mains et les immobilisa. Elle fit un pas en arrière :
    
    — chouchou ? Ça te plaît tant que ça ?
    
    — Euh... Oui... Tu es magnifique....
    
    Elle sourit, libéra mes mains et posant l’une des siennes sur sa joue :
    
    — qu’est-ce que tu me fais faire ?
    
    Elle pouffa en cachant son visage dans ses mains, ferma ensuite ses poings devant sa bouche et m’observa de ses yeux pétillants :
    
    — Tu seras mon passager coquin ?
    
    Je ne pouvais plus parler. A voir Célia dans cette tenue tellement sexy, la voir entrer dans un jeu sexuel dans lequel je n’aurais jamais cru qu’elle entrerait : ma queue frétillait. Je fis un pas vers elle en hochant la tête pour l’approuver.
    
    Elle plaça sa main devant mon visage.
    
    — Du calme passager coquin....
    
    Je m’arrêtais. Elle se donna un regard très aguicheur, ses yeux voulaient me dire : /on va jouer, ça a l’air amusant, et puisque ça te plaît, je vais t’allumer...
    
    Et à partir de là, elle s’est transformée. Elle prit un regard de coquine allumeuse, que je ne lui connaissais pas. Elle s’est mise à se déhancher en parlant d’une voix chaude et suave :
    
    — ...
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