Une collègue a besoin de réconfort (3)
Datte: 04/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
Quelques jours après nos retrouvailles qui avaient suivi plus d’un mois d’abstinence forcée, ma blondinette de collègue dormait toujours chez moi. Célia avait appelé la colonie de vacances pour être sûre que ses enfants allaient bien. Son mari était avec sa maîtresse. Et côté boulot, on avait posé nos vacances.
Bien entendu, avant de partir en congé, j’avais eu le droit aux remarques : « alors on prend ses vacances en même temps que Célia ? Hein ? ».
D’ailleurs, ma partenaire sexuelle avait joué de l’incrédulité de nos collègues. Sous ses airs de petite maman modèle, elle avait affirmé en riant qu’elle passerait les deux semaines de congé chez moi. Elle devait penser, au moment où elle l’avait dit, que nous resterions sages...
Sinon, elle aurait rougi comme une pivoine. Heureusement, personne ne l’avait crue. Dire que Célia et moi baisions en dehors du boulot étant un gag de répétition pour nos collègues. Mais, impensable.
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Donc, nous nous étions retrouvés. J’étais très, très content. J’avais tout ce qu’il me fallait : des congés, une femme magnifique dans mon lit...
Cela faisait deux ou trois jours que Célia avait posé sa valise chez moi pour les congés. Ce jour-là, nous sommes allés nous promener après le déjeuner dans la forêt près de chez moi. Une promenade d’une heure ou deux au grand air. Nous nous tenions la main comme deux ados. Elle souriait, profitait de ces moments entre nous deux et j’espérais que ça ...
... continuerait encore un long moment...
Nous revenions vers la maison et je me demandais comment se dérouleraient nos prochaines galipettes. Que faire d’autre que nous n’avions pas encore fait ? Parce que nous avions utilisé toutes les pièces, pratiqué différentes positions...
J’avais peur qu’elle s’ennuie, même si ce n’était pas le cas. Nous rentrions dans la maison, retirant chaussures et manteaux. Mon esprit s’imaginait faire l’amour à Célia dans le jardin, sous l’un des arbres, à l’abri des regards.
Mes pensées furent suspendues par la sonnette. Mon sang se glaça... Merde... Qui c’était ?
Un voisin qui nous avait vus et allait nous dénoncer ? Non, puisqu’aucun ne connaissait Célia ou son mari...
Ma famille ? Que dire s’ils voyaient Célia ? Que je couchais avec une femme mariée ?
Le mari de Célia ? Non, il était « occupé ».
Un collègue ? Adrien ? Colette ? Merde...
Je me calmais en me disant que je me faisais des films. J’inspirais, regardais par l’œil-de-bœuf : c’était le facteur... Ouf...
J’ouvrais la porte, il me tendit un colis : « voilà un petit colis Monsieur ! Bonne journée ! ». J’avais à peine eu le temps de le remercier qu’il repartait déjà vers sa camionnette jaune.
Refermant la porte, je vis Célia arriver en riant : « qui c’était ? Une voisine qui nous trouve trop bruyants ? ».
Je souriais à ce sous-entendu en lui précisant que c’était le facteur.
— Ah et qu’est-ce que tu as commandé chouchou ?.
Ah... Oui... Qu’est-ce que j’avais ...