1. Maman, ma pute sans limite. (1)


    Datte: 04/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Stephane999, Source: Xstory

    ... mère. Et moi aussi j’adore ça. La rabaisser. La traiter comme de la merde. Ma propre salope de génitrice obsédée de cul sale et dégradant. Putain ! Si mon couillon de père savait ! Elle n’a plus aucune dignité. En deux ans, j’en ai fait une pouffiasse nymphomane qui se vautre dans le stupre et le malsain.
    
    — C’est bien... Lèche. Sors bien ta langue.
    
    Quelques claques et crachats plus tard, la tronche de maman ne ressemble plus à rien. J’ai débandé un peu. Parfait. Je la choppe par les cheveux et la fais asseoir sur les chiottes, la ceinture toujours autour du cou.
    
    — Ouvre grand la bouche. Voilà. Tire la langue.
    
    Elle sait. Et elle fait. Elle attend qu’un jet de pisse brûlant sorte de ma bite et vienne directement inonder le fond de sa gorge.
    
    — Avale sale pute !
    
    J’en fous partout, mais elle déglutit au maximum. Tout en continuant à pisser, j’introduis ma bite dans sa gorge, je serre la ceinture et commence à ramoner comme un forcené en la traitant de tous les noms, la pisse giclant partout dans les chiottes et souillant son corps et le mien. J’y vais sans me retenir et en giflant ...
    ... copieusement son visage. Quand j’ai fini de pisser, je la jette brutalement au sol, la foutant à quatre pattes, son gros cul blanc en l’air. J’écarte le string et l’encule d’un coup sec dans une marre de pisse à même le carrelage. Elle hurle. Je lui ramone les boyaux violemment, lui éclatant la rondelle tandis qu’elle grogne comme un animal. Je finis par lui balancer plusieurs saccades de foute épais bien au fond de son pétard en lui claquant les miches. Je me retire, me mets debout alors qu’elle gît au sol dans la crasse. Je lui crache un dernier glaviot en pleine face avant de lui dire :
    
    — Voilà, ma petite maman chérie. Voilà exactement comment je te considère. Sale trou à bites... Maintenant, tu peux nettoyer la maison. Moi, je vais me prendre une douche.
    
    Je la laisse là, choquée, abasourdie, mais comblée. Je le sais. Elle a adoré chaque instant de cette humiliation sordide orchestrée par son pervers de fils. Je file à la salle de bain en me disant que le week-end s’annonce agité.
    
    Commentaires et suggestions appréciés... J’ai une fâcheuse tendance à ne pas finir mes histoires... Vous êtes prévenus ! ;) 
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