1. Maman, ma pute sans limite. (1)


    Datte: 04/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Stephane999, Source: Xstory

    Il doit être environ 11 heures du matin quand j’émerge, en ce vendredi de fin juin. Je descends, direction la grande pièce à vivre de la maison, vêtu d’un simple caleçon. J’y suis accueilli par la vaisselle sale de la veille et l’odeur du café. Je m’en sers une tasse. Ma mère, Laetitia, n’est pas là. Dans le canapé, je consulte mon téléphone rapidement. Facebook et autres conneries. J’ai vraiment du mal à me réveiller, le cerveau encore embrumé des verres d’alcool et pétards de la veille. Bon. Je décide de guérir le mal par le mal et me roule un joint pas trop chargé. Ca sent la productivité, encore aujourd’hui. Mon père, Christian, doit rentrer ce soir comme d’habitude. Je déteste ça. Son boulot l’éloigne en général toute la semaine de la maison, souvent aux quatre coins de l’Europe.
    
    A 21 ans, je vis donc seul avec ma mère qui ne bosse pas, le daron bénéficiant d’un salaire à 5 chiffres en tant que numéro deux de l’entreprise d’import-export qu’il a cofondée. Quant à moi, depuis que j’ai obtenu mon bac avec mention feignasse, je squatte la maison. Etudes vite avortées, pas de boulot. Ce n’est pas comme si j’en cherchais. Je n’en ai vraiment rien à foutre. Mon père s’en inquiète, ma mère le vit au contraire très bien. Il y a 15 ans d’écart entre eux deux. Maman a 40 ans, lui 55. Il gagne du blé, elle dépense. Il voulait une belle femme et une jolie famille, elle, un mec avec un gros portefeuille. Ils se sont bien trouvés.
    
    Au cours de mon adolescence, j’ai vite compris ...
    ... que ma chère maman cocufiait copieusement son mari. J’ai même eu vent très vite de sa réputation de salope. Seul mon père semblait l’ignorer. Comme souvent apparemment. Moi, je savais, mais je fermais les yeux. Jusqu’au jour où il devint évident que je ne pouvais pas ne pas savoir. Laetitia se cachait de moins en moins vis-à-vis de moi. Des absences répétées le soir, alors qu’elle quittait la maison fringuée comme une pétasse, mon père travaillant à des centaines de kilomètres, et tout un tas d’autres choses. Je ne sais plus exactement comment ça s’est passé, mais un jour, nous avons eu une conversation à ce sujet. Nous en sommes arrivés à un accord très avantageux. Je gardais le secret, et en contrepartie, ma mère se faisait permissive au possible. Cela dura des années pendant lesquelles le lycée fut une suite de bringues mémorables, de vie facile, mon mépris pour mon paternel ne cessant de croître.
    
    Je suis perdu dans mes pensées, toujours en caleçon dans le canapé et mon joint à moitié fumé, quand la porte de la maison s’ouvre sur ma mère, chargée d’un sac de courses et de son sac à main.
    
    Maman est vraiment une bombasse. Un mètre soixante-cinq, une paire de loches taillant un gros 90D, bon gros cul et des hanches larges, des cuisses pleines et des jambes fines, un joli minois aux yeux bleus et aux cheveux platine, un nez parfait et des lèvres pleines. Elle porte ce jour-là un top blanc aux fines bretelles, très décolleté, sans soutien-gorge comme souvent. Son cul est ...
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