1. COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (2/3)


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... fait tellement défoncer que lorsque mon urine sort, j’ai un peu mal.
    
    Voir un toubib voilà la solution.
    
    La porte s’ouvre, un plateau adorant m’arrive, même rituel.
    
    - Monsieur, je dois voir un toubib, j’ai dû attraper une cystite.
    
    Deux baffes dans ma tronche, je fais le même soleil qu’hier.
    
    Rien ne semble perturber les deux gars, ce qui est stressant c’est que je n’ai jamais entendu le son de leurs voix.
    
    J’ignore le temps que je vais passer dans cette pièce et si ce sont eux qui vont toujours me garder tout le temps dès 3 ans 6 jours, laissons les 10 heures, mais je sens au fond de moi que je finirais folle.
    
    Je me relève, ils sortent.
    
    La cloche, gratin, rôti de veau, fourchette.
    
    Pas le temps, à pleine main, je croque dans la viande, ça serait un étron je le savourerais pareil.
    
    Je me brûle avec le gratin.
    
    Je suis restée debout, une tranche de patate tombe au sol, je m’agenouille pour la ramasser, je tiens à ne rien perdre, merci les belles résolutions.
    
    La porte s’ouvre.
    
    Ce n’est pas croyable, je venais de mettre mes genoux au sol pour le lécher et récupérer la sauce.
    
    - Regardez, elle nous attend, les potes m’ont dit que c’était une vraie chienne.
    
    Pas le temps de boire un coup, le plateau part, j’ai juste le temps de voir la verge que l’un des trois gars a sorti qu’elle m’encule.
    
    Une chienne, je suis une chienne lubrique, me faire enculer dans les jours suivants avec un deux ou trois gars, c’est ...
    ... fréquent.
    
    Je jouis à en avoir de plus en plus mal à la chatte, mais m’habituant aux diverses pénétrations, ça devient de plus en plus supportable.
    
    Chaque fois que le plateau arrive je me jette dessus.
    
    - Laissez-moi de l’eau, il m’arrive d’avoir soif, je ne peux pas dire dans la nuit.
    
    C’est un problème, je sais ce que je risque à émettre une demande.
    
    Mes bourreaux deviendraient-ils humains, rien pas de baffe, la carafe m’est laissée avec le verre.
    
    Me sectionner les veines en la cassant voilà la solution.
    
    Je la jette contre le mur, elle explose.
    
    La porte s’ouvre, je suis attrapée et je ramasse mes deux baffes.
    
    Depuis, c’est une poche d’eau qui m’est apportée, je ne me ferais pas grand mal.
    
    Cet épisode de la carafe me montre que derrière la porte, un de mes bourreaux est toujours là pour me surveiller.
    
    Deux jours plus tard, c’est un gamin, pas plus de 18 ans moi qui en aient 23 ou 24 ignorants le jour où l’on est qui entre.
    
    - Bonjours madame.
    
    Quand il me baise gauchement, je lui susurre à l’oreille pour ne pas être entendue.
    
    - Je suis séquestrée et prostituée ici depuis un temps qu’il m’est impossible de calculer.
    
    Si tu préviens la police d’où je suis, je serai ta copine tout le temps que tu voudras.
    
    Il décharge, se lève et tape à la porte, qui s’ouvre.
    
    Il sort emportant avec lui ma possibilité de m’évader de la vengeance de mon beau-père.
    
    Le temps passe, la porte s’ouvre, je suis persuadée que c’est la police… 
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