1. COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (2/3)


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... fasse un alibi et mes potes t’amèneront tes cinq premiers mecs.
    
    Pour te faire plaisir, ils auront le droit de te baiser les cinq ensembles.
    
    Aller je te quitte, dors bien en attendant tes premiers clients.
    
    - On va me rechercher, la police va te remettre en prison.
    
    - Où es-tu, crois-tu que des mecs ayant fait de la tôle vont aller voir les flics pour leur dire que tu existes ?
    
    Tu te mets le doigt dans l’œil.
    
    Adieu ma belle n’oublie pas, personne ne sait où tu es mais tes clients non plus.
    
    Mes potes iront au lieu de rendez-vous, feront venir les gars sans voir où tu es cachée, j’ai fait aménager un neuf places sans vitre.
    
    C’est beau le pognon.
    
    À dans 3 ans 6 mois, ma femme m’attend, je vais t’avouer quelque chose, je lui suis entièrement fidèle.
    
    Que penses-tu de ma vengeance, elle se mange froide ?
    
    Coralie :
    
    Voilà ce que je pressentais arrive, c’est Jean qui se venge de ce que je lui ai fait.
    
    Depuis combien de temps je dors, je vais à la porte, tout le temps où j’ai dormi la lumière semble être restée allumée.
    
    Je frappe le plus fort possible.
    
    La porte s’ouvre, je n’ai pas le temps de dire ouf, je me ramasse un aller-retour m’envoyant sur mes fesses.
    
    Les deux types toujours cagoulés sont là, celui qui ne m’a pas frappé porte un plateau qu’il va poser sur la table.
    
    Mon frappeur le plus baraqué reste à la porte impossible de m’échapper.
    
    Les deux hommes sortent sans un mot.
    
    Si j’ai bien compris Jean, 3 ans 6 jours sans ...
    ... compter les 10 heures.
    
    Autant mourir tout de suite.
    
    Grève de la faim, quand je serais à l’article de la mort il faudra bien qu’il m’emmène à l’hôpital.
    
    Je suis près de la table, mon ventre gargouille, je regarde le plateau, une cloche est posée sur le plat.
    
    Que m’a-t-on préparé, ça sent bon, un vrai supplice.
    
    Et mon ventre qui gargouille.
    
    Je prends la cloche, la porte s’ouvre.
    
    Même rituel, l’un reste près de la porte, l’autre se saisit du plateau et l’emporte.
    
    J’ai envie de crier.
    
    Pas le temps, comme me l’a dit Jean, pour ma première ils sont cinq et pas des moindres tous aussi baraqué que celui aux baffes restant à la porte.
    
    - Notre pote ne s’est pas foutu de notre gueule, sa pute c’est un canon.
    
    - Déjà à poil, je sens que nous allons passer un bon moment.
    
    Prise en main, une bite se propose à ma bouche, j’aurais mieux fait de manger.
    
    Au début c’est mou et comme avec George, ça durcie.
    
    Une, deux, ma chatte est honorée, je ne suis plus qu’un morceau de viande qui sert de vide couille.
    
    Que Jean n’attende pas de moi que je jouisse.
    
    - Ah ! Ah !
    
    Continuez les mecs, oui comme ça tous les deux.
    
    Comme pour le repas où j’ai failli craquer, mon serment de ne pas jouir, je le jette aux oubliettes.
    
    Comme m’a dit George un jour, « tu es une folle du cul ».
    
    Folle du cul, je le suis, les cinq gars les cinq bites stimulent mon clito qui a force de s’éclater me laisse pantelante.
    
    Une envie irrésistible de pisser me réveille, je me suis ...