1. Oncle John (4)


    Datte: 03/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: balista, Source: Xstory

    ... pour me faire plaisir, je veux explorer son entrejambe, me gaver de ses parfums.
    
    — Pas mal, dans la norme, je pense qu’on va se payer un peu de bon temps.
    
    — Je peux te caresser, sucer, lécher ?
    
    — Tout ce que tu veux, ça, c’est vraiment pas monnaie courante dans la région.
    
    On s’assoit sur le canapé et je commence à lui prendre ses lèvres pour un baiser profond, ce n’est pas comme à Hollywood, elle ne sait pas trop quoi faire avec sa langue alors après avoir caressé ses seins, je m’approche des jolies fraises des bois qui les ornent pour les dévorer, en plus, ses aisselles dégagent un parfum excitant, ni trop fort ni trop fade, légèrement vinaigré et épicé. De ma main libre évidemment, je pars en exploration du reste de son corps, son buisson ardent n’échappe pas à mes caresses et je me rapproche de plus en plus de ce qui m’intéresse.
    
    — Tu ne veux pas te mettre sur le dos et ouvrir tes jambes que je puisse t’honorer.
    
    — Déjà ?
    
    — C’est trop tôt pour t’embrasser la minette ?
    
    — Ça, je ne sais pas, je pensais que tu voulais déjà venir dans moi. On ne m’a jamais embrassé la minette comme tu dis. Fais !
    
    — Alors, avançant une lippe avantageuse, je remplace ma main qui avait reconnu le terrain pour une inspection plus détaillée. Son petit pain m’a l’air bien appétissant, c’est assez relevé comme parfum, nettement plus que ma chérie, mais j’aime bien, c’est comme passer du Petit Lu au Camembert bien fait, coulant à souhait.
    
    Surprise de sentir ma langue ...
    ... récolter son miel, la surprise, le plaisir, l’inédit font que rapidement les petites rivières se transforment en un fleuve puissant, les petites ondulations des hanches en tremblements violents, je ne touche pourtant pas sa rondelle, laissant ceci au spécialiste diplômé de l’enculage gratiné. Les doigts d’Anna me serrent la tête, pour ne pas me laisser m’échapper, jusqu’à ce qu’un soupir de satiété vienne m’indiquer que je peux quitter provisoirement le lieu de fête.
    
    — Viens me dit-elle, en me tirant contre sa tête.
    
    Sans me faire prier, j’introduis mon sexe dans sa minette inondée, si cela rentre facilement, c’est délicieusement serré, comme chez Jessica avant qu’elle se fasse écarteler sa chatte par le monstre de John.
    
    — C’est bon d’avoir à nouveau la visite à ma nurserie. Samuel, il ne s’égare plus de ce côté.
    
    — Cela me rassure que la déformation n’est pas permanente, Samuel m’a appris que tu avais aussi avec John et que tu n’avais plus de réaction quand il te prenait et qu’il était obligé de te prendre par-derrière pour que vous ayez une certaine sensation. Il ne me faudra pour ma chérie peut-être qu’à attendre qu’elle fatigue.
    
    À ce moment-là, Samuel se manifeste.
    
    — Tu fais des beaux rêves, mais une fois qu’elles ont goûté à de la grosse artillerie, elles ont beaucoup de peine à s’en passer, les autres armés de fusils normaux paraissent fades. Mais je suis content de voir que c’est à nouveau praticable avec ma femme.
    
    — C’est quand même bizarre qu’avec ma ...
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