1. Oncle John (4)


    Datte: 03/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: balista, Source: Xstory

    Résumé des chapitres précédents
    
    Invités avec sa femme Jessica, par John, l’oncle de Jérémie, ils se rendent dans son ranch. Très vite, Jessica flashe sur John dont elle a pu observer qu’il était un homme à femmes bien pourvu par la nature. Jérémie autorise Jessica de l’essayer comme sex-toy. Il s’éloigne pour lui permettre de vivre son fantasme et en rentrant, il constate qu’ils sont bien occupés, il reconnaît sa défaite et ils finissent en une partie à trois. Elle lui promet en remerciement un réveil en fanfare, mais au réveil, le lit est vide et vite il retrouve Jessica en pleine action et il menace de divorce, mais finalement ils arrivent à un accord, elle peut continuer, mais elle tolère qu’il se donne du bon temps avec la femme de Samuel, l’homme à tout faire de la maison.
    
    Vive les Amérindiennes.
    
    — Tu es un amour, vraiment je crois qu’on était en train de faire une belle connerie les deux en voulant se séparer.
    
    Après son départ vers la douche, je sors me rafraîchir les idées et je croise Samuel.
    
    — Alors, cela s’est bien passé ?
    
    — On peut dire cela, finalement il fallait qu’on s’explique, je lui ai dit que tu m’avais proposé ta femme et que j’allais accepter, c’est toujours d’actualité.
    
    — Je ne lui en ai pas parlé, mais comme Indienne, elle est assez soumise, donc cela ne devrait pas faire de problème. On y va ?
    
    — Pas tout de suite, on va d’abord faire quelques pas si tu veux, discuter un peu.
    
    — Oui, sans problème, j’ai rien d’urgent ...
    ... maintenant, mais viens, on va dire à ma douce qu’on va faire quelque pas et qu’en rentrant je lui réserve une surprise. Alors, je suis curieux, raconte un peu.
    
    — En premier, je lui ai présenté un pacte pour en faire une femme soumise, mais elle n’a pas accepté et a commencé à faire sa valise en me disant qu’elle préférait le divorce à l’esclavage, ce qui ne m’arrangeait pas ; je lui ai ensuite demandé ce qui la gênait. Sa réponse a été tout à fait logique entre deux personnes normales, elle voulait la suppression de mention de maître et d’esclave et que ce que j’avais énuméré comme devoir pour elle, elle voulait que je les énumère aussi pour elle.
    
    Ne voulant pas la perdre, c’est moindre mal.
    
    — Tu as bien fait, elle est vraiment très jolie et là tu aurais perdu.
    
    — C’est un peu ce que je pensais, mais quand on s’est lancé dans les câlins, si pour le cunni, il n’y avait pas de problème, quand je l’ai prise, j’avais l’impression de baiser une poupée gonflable, si ce n’est que ce n’était plus comme avant, les chairs étaient relâchées, c’est avec peu de plaisir que je lui ai éjaculé dedans.
    
    — Comme je t’ai dit, j’ai connu cela, c’était bien pareil à l’époque où John se faisait plaisir avec mon épouse. Tu comprends pourquoi je préfère l’anus à la minette.
    
    — Oui, mais depuis le temps, cela a dû se raffermir. Enfin, j’espère, car autrement c’est vraiment désolant si je dois me concentrer sur sa turbine à caca.
    
    — C’est aussi pas mal, j’ose t’affirmer qu’elle va rapidement ...
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