1. Cohésion d'entreprise (6)


    Datte: 01/01/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Mlle_Helened, Source: Xstory

    ... un coin. Je n’attendis pas la fermeture des portes pour l’embrasser. Baiser auquel elle répondit franchement.
    
    Nous fîmes le trajet en silence, me tardant d’arriver chez moi.
    
    Et la porte de mon appartement à peine claquée, je me jetai sur elle. On se déshabilla prestement avant de se mettre en soixante-neuf. Je voulais goûter sa chatte et sentir sa bouche sur mon sexe.
    
    J’enfilai un préservatif et vins derrière elle. Ses poignées d’amour n’avaient jamais aussi bien porté leur nom. J’empoignai un bourrelet pour la pénétrer d’un seul coup de reins. Pour la première fois, je la prenais en levrette. Mon sexe disparaissait en cadence dans sa large chatte, son gros cul masquant quasiment toute la vision. Mais son cul, si gros fût-il, n’en était que plus excitant, attirant. Je me retirai pour l’embrasser, le caresser, le lécher. Je titillai son petit trou.
    
    — Pas maintenant, dit-elle. Mais promis, tu pourras y aller.
    
    Cette promesse me galvanisa. Je m’accrochai de nouveau à elle et la baisai de plus belle. Elodie semblait apprécier, si je me fiais à ses cris et ses encouragements.
    
    Je dus faire un gros effort pour ne pas jouir avant elle. Son orgasme libéra enfin le mien.
    
    — Trop bon ! dit-elle. Trop bon. Merci mon chéri.
    
    — Merci à toi. Tu es divine.
    
    — N’en fais pas trop.
    
    — je te l’ai déjà dit : mes compliments sont sincères.
    
    Elle posa sa tête sur mon torse, caressant mon ventre, parfois mon sexe.
    
    — Tu me plais beaucoup, dit-elle.
    
    — Toi aussi, ...
    ... dis-je en embrassant ses cheveux ébène. Je suis bien avec toi. Là, maintenant. Et j’ai pas envie que tu partes.
    
    — Pourtant, il le faut. Je n’ai rien pour me changer.
    
    — La prochaine fois, tu n’auras qu’à laisser une culotte. Au cas où...
    
    — Avec une brosse à dents, c’est le début d’une vie de couple.
    
    — Et pourquoi pas ?
    
    Elle se releva et planta son regard dans le mien.
    
    — Tu es sérieux ?
    
    — Quand tu m’évitais, j’ai pensé un moment que tu avais rencontré quelqu’un. Et quand tu m’as dit que non, ça a été un soulagement.
    
    — Tu m’aimes ? Tu es amoureux de moi ?
    
    — Je crois que oui.
    
    Son regard s’illumina, ses yeux brillèrent d’un éclat que je n’avais jamais vu. Elle aussi m’aimait.
    
    — Moi aussi je t’aime. Et j’avais peur de t’effrayer si je te le disais.
    
    Elle roula sur moi, malgré son poids.
    
    — Je t’aime Vincent, dit-elle.
    
    — Je t’aime Elodie.
    
    — Et j’aime aussi Emma. Peut-être plus que Vincent.
    
    — Tu es sérieuse ?
    
    — Très !
    
    Mon rêve le plus fou se réalisait : tomber amoureux d’une fille merveilleuse qui acceptait mon côté féminin.
    
    On s’embrassa un long moment.
    
    — Tu sais quoi ? demandai-je.
    
    — Non mon amour.
    
    — Si tu n’as pas d’affaires de rechange ici, qu’est-ce qui m’empêche de venir chez toi avec ce qu’il faut pour moi pour demain ?
    
    Elle me fit un sourire en tranche de courge.
    
    — C’est pour ça que je t’aime ! Tu as toujours de bonnes idées.
    
    On se rhabilla en hâte. Je jetai quelques affaires dans un sac sans oublier tout ce ...