1. Ma vie comme dans un X des années 70 (2)


    Datte: 31/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: luc_marie92, Source: Xstory

    ... chemisier crème, un soutien-gorge à balconnets couleur chair. La jupe glisse. La culotte est assortie. Ce sont des collants.
    
    — Si j’avais su, j’aurais mis des bas, soupire-t-elle.
    
    Et d’ajouter :
    
    — Ce sera pour une autre fois, peut-être.
    
    — Corinne (ma copine) les aime aussi, tu sais. On est très branchés "dessous sexy".
    
    — J’aurais très envie d’elle. Et de toi. En porte-jarretelles, elle doit tellement désirable...
    
    Assez vite, le collant cesse d’être une barrière ; la culotte aussi. J’adore les toisons fournies ; celle de ma collègue l’est, brune, bouclée. Le triangle est large et somptueux. Elle l’offre en majesté.
    
    — Tu es belle et terriblement excitante. Oh oui, j’aimerais te voir baiser avec Corinne. J’aimerais que tu l’inities. Que tu la fasses jouir autant, ou plus que moi.
    
    Elle me conduit dans sa chambre de femme seule. Chantal me branle. Puis me suce. Masse bien mes couilles. Une vraie geisha. Me fixe dans les yeux tandis qu’un de ses doigts glisse vers mon anus. Elle veut vérifier dans mon regard si cette caresse-là est susceptible de me gêner. Je ne dis rien, je souris. Elle plaque juste son majeur sur mon orifice. Le masse. Et elle suce. Bien. Je l’invite à venir sur moi. Je vois son trou du cul, et ma langue cherche les replis de ses lèvres, l’entrée de son vagin, le clitoris. Je fais l’examen total. La langue passe aussi sur ses fesses ; elles sont un peu poilues, pas trop. J’adore.
    
    Nous sommes dans les années 80 ; dans les films, les ...
    ... acteurs ne s’embarrassent pas de protections. Dans la vraie vie, le vilain virus en quatre lettres est déjà présent dans les têtes. Quand elle prend une capote dans son tiroir, je ne proteste ni ne me cabre. Je lui demande juste de l’enfiler en douceur, ce qu’elle fait ; ainsi mon érection ne perd pas en intensité. On baise. Elle aime changer de position. Je dégrafe son soutien-gorge pendant qu’elle est sur moi, je suce ses tétons. Elle est du genre à parler pendant l’amour, un peu bavarde : elle m’encourage, n’économise pas ses compliments. C’est une baise langoureuse et sensuelle, et on va jouir elle et moi.
    
    Quelqu’un disait que le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier. Juste avant. Moi j’aime "après", quand il ne s’agit pas de commenter la partie qui vient de s’achever, mais de se laisser aller aux confidences.
    
    Les nôtres vont glisser sur nos séances de masturbations solitaires. Corinne a beaucoup inspiré Chantal, et Chantal m’a beaucoup inspiré. Je le lui avoue. Elle me dit qu’elle en est heureuse. Je la masturbe pendant qu’elle me demande des détails sur la sexualité de Corinne et nos expériences éventuelles en matière de cul. Elle mouille bien pendant cette petite parlote, et la liberté avec laquelle elle aborde ces questions me fait bander de nouveau. On rebaise. On rejouit. Je lui propose de monter un prochain dîner avec Corinne. Mais suggère de ne pas lui dire que nous avons déjà "fait connaissance".
    
    Vive les films X des années 70. Pour la ...