1. France Rurale 3


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: PassifChaud, Source: Hds

    ... », tassant le plus possible ce qui allait devenir la nourriture du bétail pendant l’hiver. Après avoir été la femelle des hommes, j’étais fier de montrer aussi, que si je pouvais écarter les cuisses, je savais aussi utiliser mes bras en tant que valet de ferme.
    
    Absorbé par ma besogne, donnant le meilleur de ma force pour bien faire, je ne me suis pas rendu compte que Michel, au seuil de la grange, me regardait. C’est en allant récupérer une bouteille d’eau pour me désaltérer que je l’ai vu, supervisant mon ouvrage sans doute, déjà bien avancé.
    
    « Mais tu es un vrai fermier dis-donc Marc, tu bosses super bien et vite… !!! »
    
    « Je suis là pour ça, non ? »
    
    « Oui, mais je pense qu’après presque 3 heures de travail sans relâche, tu as besoin d’une pause quand même »
    
    « Oui, c’est pour ça que je me suis arrêté un moment, j’avais trop besoin de boire et de reprendre des forces pour continuer, il fait tellement chaud »
    
    Torse nu, me montrant une pilosité qui n’avait rien à envier à son frère et à son père, il s’est approché de moi et au fur et à mesure qu’il avançait, son entrejambe comprimée dans son pantalon de travail, grossissait, grossissait encore, prenant une ampleur… démente…
    
    « Et oui Marc, je suis plus jeune que Jean, d’un an à peine, mais je suis beaucoup, beaucoup plus gros que lui et même, bien plus gros que mon père. »
    
    « Tu bluffes… Arrête… !!! »
    
    « Tu vas bien moins faire le malin quand tu vas l’avoir dans toi… !!! »
    
    Et il a sorti son… truc… ...
    ... Ce machin d’une taille indescriptible tellement que c’était énorme, gigantesque, alors que son érection n’était à peine qu’à moitié, et encore. Je n’arrivais même pas à imaginer ce membre dressé en totalité. Pour moi, c’était impossible, mes maigres notions livresques d’anatomie me revenaient à l’esprit, me persuadant que l’homme ne possédait pas suffisamment de sang pour irriguer un tel membre et lui donner la rigidité nécessaire à un accouplement.
    
    « Je ne connais pas le plaisir Marc, sauf celui de la masturbation. Ce pieu dont la nature m’a doté, comme une punition, m’interdit tout rapport. J’ai essayé quelquefois, avec des filles, des garçons aussi, mais dès que mon monstre est apparu à leurs yeux dans toute sa splendeur, ils se sont tous enfuis, me disant méchamment que je ne pourrais que baiser une vache ou une jument. »
    
    « Ta famille est au courant ? »
    
    « Non… Je m’en suis toujours caché, à part mon père qui m’a aperçu une fois, où je sortais de la salle de bain, serviette autour de mes reins, mais cette énormité en dépassait, jusqu’à mi-cuisse et je me suis vite détourné. »
    
    Sa détresse faisait peine à voir. Pour une fois, un homme avait honte de sa virilité, alors que d’habitude ils en étaient tous très fier. Il n’osait même pas s’approcher de moi, dans une posture figée comme une statue de sel, mais son membre, quant à lui, restait bien vivant pour en atteindre son ampleur maximale… Affolant… !!!
    
    J’aimais cette famille, elle m’avait recueilli, respecté, ...