1. Un mariage peu banal


    Datte: 30/12/2021, Catégories: ffh, religion, grossexe, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, hdanus, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... être une oie blanche, mais c’est un autre sujet.
    
    Le jour J arriva enfin. Rosy ne savait plus où donner de la tête, les sollicitations arrivaient de partout en même temps. Les problèmes à régler n’en finissaient pas. À commencer par la nervosité de sa fille, vraiment insupportable. Carine était venue, comme promis, vêtue d’un ensemble blouse-pantalon très seyant mettant la profonde vallée de ses seins en évidence.
    
    — Tu es sûre que c’est convenable d’aller à l’église avec ça ? demanda Rosy.
    — Et toi, avec ta robe de cougar fendue à la cuisse ? J’espère que tu vas mettre un slip, contrairement à tes habitudes.
    — Pas sûr, je m’interroge, répliqua Rosy, toujours adepte de la provocation.
    
    Avant la cérémonie, les deux filles se rendirent au presbytère pour régler les derniers détails. Sans le dire ouvertement, Carine avait hâte de découvrir ce fameux curé. Quand elles le virent, elles ressentirent un petit choc. Il les accueillit en soutane ! Oui, à l’ancienne, avec ses pieds nus dans des sandales ! Mais si les deux filles furent impressionnées, le curé ne se montra pas indifférent pour autant envers ses interlocutrices. Son regard s’attardait sur les cuisses de Rosy et les seins de Carine plus que la décence chrétienne ne l’exigeât. Elles en furent infiniment troublées. Carine faillit lui demander s’il portait quelque chose sous sa soutane et la même pensée attrapa le bulbe de Rosy, pourtant surmené par les préparatifs du mariage. Et c’est donc passablement énervées ...
    ... qu’elles rejoignirent les invités pour le vin d’honneur précédant la cérémonie ecclésiastique.
    
    Celle-ci se déroula de la manière la plus classique, mais Carine et Rosy n’avaient d’yeux que pour le curé Alphonse, majestueux dans sa tenue chamarrée, très éloquent dans son sermon. Si bien qu’une idée vint à l’esprit de Rosy : l’inviter pour le repas du soir. Ce n’était pas prévu, mais une assiette de plus ou de moins ne changerait rien. Elle le chuchota à l’oreille de Carine, sa voisine d’église, qui désapprouvamezza voce :
    
    — Tu es folle ! C’est un rite païen indigne d’un curé.
    — On verra bien.
    
    En définitive, le curé ne marqua pas la moindre hésitation pour répondre favorablement à l’invitation, arguant qu’un représentant de Dieu à une aussi belle fête serait placer cette union sous un bon présage. Carine eut l’air sceptique, mais Rosy rayonnait. À se demander si, des deux, ce n’était pas elle la chrétienne…
    
    Le repas avait lieu dans une salle des fêtes réservée pour l’occasion. Il y faisait une chaleur d’étuve et les dames n’en finissaient plus de se découvrir. Rosy se félicita d’avoir opté pour le fourreau léger léopard. Elle se demandait comment faisait le curé, assis juste devant elles, pour supporter sa soutane tout en mangeant comme quatre.
    
    — Je te dis qu’il est à poil dessous, murmura Carine.
    — Tu fantasmes, répondit Rosy.
    
    Elle avait à peine formulé ces propos qu’elle laissa tomber sa serviette par terre. Carine s’écarta pour la laisser la ramasser, mais ...
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