Catho coincée
Datte: 29/12/2021,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
grosseins,
groscul,
sales,
odeurs,
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... miroir de l’entrée sans allumer et elle se regarda dans la pénombre des réverbères extérieurs. Dommage, elle ne se voyait que jusqu’à la poitrine, mieux que rien. Elle dégrafa son soutien-gorge, ses deux gros seins giclèrent hors de leur carapace de tissu renforcé, tombant à peine, mais rebondissant souplement. Très étonnée, elle en vit les pointes, habituellement à peine saillantes, dressées et gonflées et d’une totale arrogance. Elle mit ses mains en coupe sous ses deux glandes généreuses, les soupesa et les tâta légèrement, imaginant ce qu’avait pu éprouver son agresseur. Puis ses doigts s’approchèrent des mamelons tout durs. Ce fut comme si elle avait appuyé sur un interrupteur : une décharge électrique irradia son bas-ventre.Mon Dieu, qu’ai-je donc à cet endroit que je n’arrive pas à voir ?
Elle voulut en avoir le cœur net. Elle enfila son épaisse chemise de nuit de coton, un gilet de laine par-dessus, prit son trousseau et sortit dans les couloirs. Elle alla jusqu’à l’infirmerie où elle était sûre de trouver un grand miroir, derrière la porte du bureau, car cette allumeuse d’infirmière qui aguichait tous les hommes de l’établissement passait la moitié de son temps à s’y contempler. Il fallait allumer, sans risque puisque la pièce était sans fenêtres, mais tout de même, l’obligation regrettable de se regarder en pleine lumière. Elle posa donc gilet et chemise de nuit, jeta un coup d’œil à tout son corps cette fois-ci, le rose aux joues, car c’était la première fois ...
... qu’elle se permettait une telle indécence. Elle se trouva assez… « normale », pivotant même sur ses jambes sans bouger les pieds pour regarder ses arrières par-dessus son épaule. Tout semblait en place.
Elle avisa sur le bureau de l’infirmière un gros catalogue de vente par correspondance. Elle feuilleta quelques pages et tomba sur des photos de filles « perdues », posant quasi nues pour vendre des sous-vêtements féminins, petits, très petits. Son corps ressemblait bien à ceux-là, sa poitrine étant un peu plus grosse, mais de la même forme. La seule différence c’est que ces filles avaient les cheveux détachés, flottant librement sur leurs épaules. Elle osa en rougissant retirer les épingles qui retenaient son chignon, passa trois ou quatre fois ses doigts dans ses cheveux et retourna se regarder. Lunettes en plus, c’était assez ressemblant. Elle était donc normale, faite comme tout le monde. Elle s’attarda cependant, changea plusieurs fois de pose, prenant un certain plaisir à s’admirer. Puis elle reprit le geste qui la troublait pour essayer d’en voir les conséquences : elle recommença à triturer la pointe de ses seins. Pareil, même sensation électrique dans son ventre, mais rien de visible. Peut-être à cause de la vaste culotte de coton, elle la posa et recommença encore. Elle ne voyait toujours rien, si ce n’est cette zone poilue dissimulant son intimité sous un large éventail blond cendré, comme ses cheveux.
Cette fois elle se jura d’aller jusqu’au bout, de tenir ...