1. Catho coincée


    Datte: 29/12/2021, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, religion, grosseins, groscul, sales, odeurs, entreseins, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... regardait Viviane comme il avait regardé autrefois Solange : une petite bourgeoise bonne à baiser, à tringler par tous les trous, à faire brailler de plaisir. Hummm, se faire coincer la queue entre ses grosses mamelles, déflorer sa petite chatte de vierge, bourrer son petit cul tout neuf et donc très étroit. Le prêtre se mit à bander dur, il croisa les jambes pour essayer de camoufler sa trique. Et l’autre qui pleurnichait :
    
    — Comprenez mon déchirement, mon père. Je voudrais fuir ces hommes devenus presque des animaux. Mais comment ne plus leur porter à manger, des couvertures quand il fait froid… Je suis écartelée entre charité chrétienne et crainte pour mon intégrité physique. Sont-ils vraiment des créatures de Dieu ?
    — Viviane… Croyez-vous que Jésus a ignoré les lépreux par crainte pour son intégrité physique, que mère Térésa aurait renoncé à son action par crainte pour son intégrité physique ? Ce que vous faites au nom de Dieu ne peut pas vous mettre en danger.
    — Bien sûr… Mais j’ai peur quand même…
    — La peur n’empêche pas le danger, dit le proverbe. Quand bien même ces… demi-sauvages iraient plus loin, cela aurait-il une quelconque importance au regard de Dieu pour votre vie éternelle ? Évidemment non, bien au contraire. Si vous reculez face au premier danger, alors vous ne vous battez pas pour Dieu. Vous vous contenterez de faire comme tous ces gens qui pensent faire leur devoir en donnant de l’argent pour les pauvres, mais ne font rien. Croyez-vous que la vie ...
    ... éternelle s’achète ? Bien sûr que non. Maintenant si vous me dites : « Non, j’ai trop peur, ces gens risquent de me salir, je renonce », alors je vous dirais : « Soit, je vous comprends ma fille, restez tranquille pour le moment. Un jour peut-être votre foi sera suffisante pour passer outre ces détails ». Parce qu’en vérité, Viviane, pouvez-vous aller à la gendarmerie porter plainte contre ces déshérités ? Pouvez-vous leur reprocher un crime devant un juge ?
    — Non, vous avez raison. J’ai eu plus de peur que de mal.
    — Et puis aussi un gros bleu à votre orgueil : j’ai bien entendu que le plus grave avait été de vous traiter de « catho coincée », je me trompe ?
    — Non, c’est vrai, avoua Viviane honteuse…
    — C’était une atteinte à votre ego, en somme un pêché…
    — … d’orgueil.
    — Un peu, je crois, sans pour cela vous rendre coupable pour autant. Ils n’avaient pas à mordre la main qui les nourrit. Mais voilà, peut-être faut-il travailler à élever encore notre foi et notre mansuétude pour parvenir, comme Jésus ou mère Térésa, à passer outre tout ce qui peut être repoussant de l’homme pour atteindre l’âme.
    — Peut-être… Sûrement…
    — Venez prier avec moi et demander la force de surpasser l’orgueil qui, lui seul, fait naître le dégoût devant des êtres simplement différents, qui nous fait passer notre chemin au lieu de leur tendre la main.
    
    Il désigna un prie-Dieu placé devant la cheminée surmontée d’un grand crucifix et supportant une statue de plâtre un peu ébréchée de la Sainte ...
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