1. Catho coincée


    Datte: 29/12/2021, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, religion, grosseins, groscul, sales, odeurs, entreseins, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... découvert ce qu’était un homme, à dix-huit ans, mon regard sur les hommes a changé. Je ne les vois plus comme des êtres ordinaires, des facteurs, des bouchers, des médecins, des dentistes, des livreurs, des prêtres même… Je les vois comme des… comme des mâles, des êtres avec un sexe masculin qui peut remplir mon sexe. Dès que j’en vois un, j’imagine instantanément son sexe, dressé et fier, prêt à me pénétrer, à me labourer, à cracher sa semence en moi. Je rêve aussitôt d’être prise de toutes les façons possibles, de le sentir vivre et palpiter dans mon ventre, dans ma bouche, dans mes fesses, entre mes seins. Je rêve qu’il éteigne l’incendie qui me consume le ventre dès que j’en vois un… C’est affreux.
    
    Des gouttes de sueur commencèrent à perler sur le front du Père Rivière. Canicule certes, en ce mois d’août, mais les églises faisaient partie des rares endroits où trouver encore un peu de fraîcheur. Mais là… Rivière était nu sous sa soutane à cause du temps, et une grosse bosse se forma entre ses jambes. Pour une confession, c’en était une !
    
    — Et… et vous passez à l’acte, ma fille ?
    — Bien sûr, mon Père. Les hommes ne rêvent aussi que de ça. Avec une facilité déconcertante, je me fais trousser trois, cinq, dix fois par jour, avec n’importe qui.
    — Mais… mais vous êtes mariée, vous avez deux enfants, je crois…
    — Oui, mon Père, deux beaux petits. Mais mon mari est souvent absent, très pris par son travail. Alors… Alors je ne PEUX pas rester comme ça, le ventre vide, ...
    ... pendant des jours et des jours. Voyez-vous, c’est comme une punition, comme ces pauvres gens qui souffrent de la faim. Je DOIS trouver absolument un mâle pour me remplir quotidiennement. Je ne peux pas faire autrement. C’est devenu un besoin vital.
    
    Elle était toujours prosternée aux pieds du curé et ne voyait pas encore la trique de l’homme d’Église. Il n’en croyait pas ses oreilles, et son imagination fonctionnait à plein régime. Cette petite femme un peu ronde, pour ne pas dire boulotte, avec ses gros seins, son gros cul, ses frisottis blonds, sa bouche en cœur, son petit nez retroussé, ses petites mains dodues, forniquait comme une malade et sautait sur tout mâle qui passait. Il hallucinait.
    
    — Mais, Madame, ça porte un nom, le mal dont vous souffrez : la nymphomanie !
    — Vous… vous croyez ? dit-elle en levant la tête.
    — Bien sûr, c’est une sorte de… maladie de l’esprit qui, j’en suis persuadé, se soigne aujourd’hui.
    — Et… il y a des traitements pour ça ?
    — Euh… Je suppose, chère enfant, je suppose, bien que n’étant pas médecin. Voyez-vous, j’essaie de soigner les âmes, mais pour moi, ce que vous décrivez relève plus du corps.
    
    Malheureusement, en baissant de nouveau le regard, Solange tomba en arrêt sur la bosse remarquable que faisait la soutane.
    
    — Aaaahhh, mon Père ! Vous aussi êtes disposé à me combler.
    
    C’est ainsi que Solange Dubreuil souleva le bas de la soutane, laissa glisser ses mains sur les cuisses nues du prêtre émoustillé et plongea sa tête sous ...
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