Catho coincée - Histoires de Sexe

Catho coincée

... abandonner sans aide et sans nourriture ? Où était mon devoir de chrétienne : continuer de les aider ou protéger ma virginité ? Je savais le risque encouru, mais j’aurais été bien plus contrite de les laisser mourir de faim. J’ai fait ce que j’ai cru devoir faire.
— Mais vous auriez pu… y perdre la vie !
— Non, ils ne sont pas méchants. D’ailleurs, ils étaient très ennuyés, n’imaginant pas que je puisse encore être vierge. Et rien que pour cela, je leur ai pardonné.
— Et… ils n’ont plus recommencé j’espère…
— Oh si ! De nombreuses fois.
— Mon Dieu. Et vous vous êtes… laissée faire ?
— Que faire d’autre, mon Père, une faible femme seule, face à deux hommes en rut ?

Le prêtre se leva, se racla la gorge, et marcha de long en large en tournant autour de Viviane, un peu mal à l’aise.

— Et vous, dans tout cela… Qu’avez-vous ressenti ?
— Eh bien, je dois avouer que… la première douleur passée… c’était moins… pénible que je ne l’aurais cru.

Il s’arrêta derrière elle, matant l’échancrure de son plastron par-dessus son épaule. Son imagination travaillait fort, il voyait cette superbe fille avec, comme ils disaient, « des gros nichons et un beau cul », forcée par ces inconnus. Ils avaient dû se régaler, les salauds ! Son sexe déjà dilaté gonfla encore à lui en faire mal.

— Vous voulez dire que… vous y avez pris du plaisir ?
— Je… je ne sais pas vraiment ce que l’on appelle plaisir, je n’ai jamais été mariée…
— Oui, évidemment… Il faudrait…
— Oui ?
— Il faudrait ...

... vérifier. Car évidemment, c’est dans le plaisir que réside le péché de chair.
— Mais comment le vérifier ? Je ne vois pas…
— Je… Je pourrais vous y aider… Uniquement si vous le souhaitez… Et seulement pour que vous sachiez jusqu’à quel point vous avez commis une faute… un péché…
— Oh, c’est très aimable à vous, mon Père, répondit-elle au prêtre qui avait repris sa marche et dont elle voyait bien l’émoi faire une bosse sous la soutane. Mais comment faire ?
— Eh bien… Je pourrais… remplacer ces deux hommes… faire les mêmes choses qu’ils vous ont faites… et ainsi nous saurions, peut-être…
— Si vous le pensez. Ici ? Maintenant ?
— Oui, ici, maintenant, répondit-il d’une voix rauque, déjà fou de désir. Quittez votre robe, posez tout, mettez-vous en tenue d’Ève.

Elle obéit, il se signa, observant le corps magnifique apparaître, les longues jambes fuselées, les gros seins drus aux pointes dressées, le beau cul pommé et ferme. Le curé bandait comme un âne, se signa de nouveau, retourna le crucifix sur le mur et le couvrit de sa soutane. Viviane les yeux baissés et le rouge aux joues jouait les prudes, elle avait sa réponse et espérait bien passer un excellent moment avec ce bel homme, autant que Madame Dubreuil. Nu, il était très beau, bien plus que ses deux premiers amants, et d’une propreté irréprochable. Quant à son sexe, dirigé droit vers le plafond, il était bien plus long et plus gros que ceux qu’elle avait connus. Il s’approcha d’elle, la huma, posa un doux baiser sur ...