Alicia et son papa (31)
Datte: 28/12/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... sur mes fesses et les pétrissaient. Je reconnus l’odeur typique du camphre et compris : papa était accroupi sur mes cuisses et il oignait et massait mon dos avec une pommade apaisante genre baume du tigre.
— Ali ? Tu te réveilles ? Ne bouge pas, laisse-moi faire. Tu vas être pleine de courbatures sinon.
— Bonjour, papa. Merci de m’avoir libérée, cette nuit.
— C’est Raul ? Il t’a obligée ? N’aie pas peur, dis-le-moi.
— Non, tentai-je d’expliquer. J’avais le choix, j’aurais pu refuser, mais non. Je ne sais pas pourquoi, j’accepte toujours, même si je suis presque sûre que je ne pourrais pas supporter.
— Ouais... Je ne peux pas faire grand-chose si tu as accepté. Je sais que tu es souple, Ali, mais quand je t’ai vue contrainte dans cette posture, j’ai cru qu’ils t’avaient obligée. Tu es bien plus maso que ta mère, tu sais. Allez, tourne-toi, je vais faire le côté face.
Papa se souleva un peu pour me laisser me mettre sur le dos, ce que je fis précautionneusement, car tous mes muscles protestaient. Je vis qu’il était nu et qu’il bandait monstrueusement, son énorme bite se dressait, congestionnée et raide, ce qui me fit sourire.
— Oh papa, tu as encore envie de moi ?
— J’ai toujours envie de toi, Ali. Tu agis comme un aphrodisiaque sur ma bite, dès que tu es là, j’ai envie de te baiser.
Néanmoins, il prit de temps de me masser partout, et il le fit lentement, avec la précision d’un vrai kiné. Il pétrissait en profondeur, faisant bien pénétrer l’huile de ...
... camphre. J’étais si bien que mon ventre commença à s’émouvoir, mes aréoles doublèrent de volume pour devenir dures et avides de caresses. À peine papa eût-il fini qu’il se redressa sur le lit ; je me retournai et lui présentai mon postérieur luisant à la lumière du jour levant.
— Viens, papa, s’il te plaît. J’ai tellement besoin de toi. Encule-moi, défonce ta fille.
— Je ne sais pas, tu as tellement chargé cette nuit... Je vais y aller doucement.
— Papa, je te connais, dis-je en riant. Tu en es incapable. Casse-moi le cul, vas-y !
Il n’a même pas répondu, bien conscient que j’avais raison. L’amour courtois, ce n’était définitivement pas son truc. Je criai de douleur quand il enfonça son braquemart dans mon anus d’un violent coup de reins. Sans transition, il était passé de papa-poule à amant brutal. Et c’est comme ça que je l’aimais.
— Allez, papounet, vas-y plus fort, tu es bien mollasson ce matin... Ah ! Aïe ! Tu me fais mal !
— Ta gueule petite pute. M’appeler papounet, c’était bon quand tu avais dix ans. Maintenant, c’est Monsieur. Et soulève-toi, que je torde tes gros nichons de salope.
— Ah ! Je vous en supplie, Monsieur. Pas si fort, vous allez m’arracher le téton. Mon Dieu, c’est trop...
Non content de me sodomiser avec la puissance d’un piston de locomotive, il claquait mes fesses, tordait mes aréoles et les écrasait entre pouce et index de chaque main. De grosses larmes commencèrent à couler sur mes joues, je mordis le drap pour ne pas hurler ...