1. Alicia et son papa (31)


    Datte: 28/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    — Je sais, papa. Mais il faut dire que tu ne l’as pas aidée.
    
    — Tu dois la punir, protesta Monsieur Rodriguez. Tu l’avais prévenue.
    
    — C’est vrai ; mais tu n’as pas été fair-play, non plus.
    
    — Foutaises ! Le fair-play, c’est un truc inventé par les Anglais pour emmerder leurs adversaires. Fair-play, mon cul oui !
    
    — Là, tu marques un point, admit Raul. Mais non, Alicia a montré qu’elle essayait de boire ma pisse. Allez, bonne nuit, chérie. Fais de beaux rêves.
    
    Le salaud, il en a de bonnes ! De beaux rêves. Je ne vais pas pouvoir dormir une minute, c’est évident, ni seulement me détendre tellement je suis mal. Et dire que je n’ai pas protesté quand j’en avais la possibilité. Pourtant papa m’a prévenue, il m’a dit de refuser quand je ne veux pas. Raul est plus qu’exigeant, et moi, pauvre pomme, j’accepte tout ce qu’il veut. Parce que c’est lui qui demande et qu’au fond, je lui fais confiance. À croire que j’ai eu tort.
    
    La nuit ? Je préfère ne plus y penser, tellement les secondes s’égrenaient lentement. Mon ventre était trop lourd et trop plein, j’urinai plusieurs fois sous moi en pleurant de honte. Parfois, je dus quand même somnoler, mais la souffrance traversait tous mes muscles à hurler et me réveillait aussitôt. Dans le noir complet, je dérivais hors du temps et hors de mon corps.
    
    Quand la porte s’ouvrit, je crus à une hallucination. Dans la pénombre, je vis mon père batailler pour ouvrir la grille. Il s’approcha enfin de moi et se pencha, le visage à ...
    ... quelques centimètres de mes yeux éplorés.
    
    — Bon sang, Ali, c’est à croire que tu aimes te faire traiter comme une sous-merde ! Je t’ai bien dit que tu avais le droit de refuser, non ?
    
    — Aaarg ! glapis-je.
    
    Papa me libéra méthodiquement de tous mes liens, un à un. Le nez d’abord, les seins, l’anneau vaginal ; il me souleva, m’arrachant du monstrueux pal ; de mon anus s’écoula un flot nauséabond de matière fécale liquide.
    
    — Putain que tu schlingues, ma pauvre fille ; c’est pas vrai...
    
    Mortifiée, je me laissais manipuler, sans force aucune. Quand il eut fini de me libérer, il s’avéra que mes muscles ne répondaient plus. Papa me souleva et me porta dans une cabine de douche. Sous le jet d’eau presque brûlante, je revins lentement à la vie, retrouvant peu à peu l’usage de mes membres engourdis. Néanmoins, il me souleva à nouveau après m’avoir enveloppée d’une serviette de bain. Ça valait mieux, je ne suis pas sûre que mes jambes auraient pu me porter à ce moment.
    
    Je m’endormis à l’instant où papa me posa dans un lit, mais la dernière chose dont je me souvienne, c’est son corps puissant qui se glissait sous la couette ; je me blottis contre lui et nichai ma tête sur son épaule, une jambe repliée sur sa cuisse, et je glissai instantanément dans le néant.
    
    J’émergeai péniblement du sommeil, troublée par un étrange rêve qui m’échappa aussitôt. J’étais couchée sur le ventre, la tête enfouie dans un oreiller moelleux. Des mains massaient lentement mon dos, descendaient ...
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