Le projet artistique (29)
Datte: 26/12/2021,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... toujours comme ça.
— Merci tu es gentille. Et ça t’a vraiment fait plaisir ?
— Oui vraiment.
— Je comprends, mais j’ai toujours trouvé plus de satisfaction quand je voyais les étoiles dans les yeux de ton père alors qu’il m’admirait.
— Oh, je n’avais pas songé à ça.
— En tout cas, pour des lingeries aussi délicates, il vaut mieux les laver à la main.
— Merci maman.
Elle repartit, mais s’arrêta à la porte.
— Et euh, elle est où cette boutique ?
— Maman !?
— Quoi ? Si tu y vas, je peux aussi. J’ai autant l’âge que toi pour ça.
— Bon, je t’emmènerai le week-end prochain.
La nuit qui suivit, je rêvai que je portais ma nouvelle lingerie et qu’un homme me complimentait et m’admirait. Puis il me faisait l’amour me faisant prendre un pied d’enfer. Je jouis dans mon rêve tellement fort que cela me réveilla. Le lendemain, j’étais sur les nerfs. La séance avec les filles avait un peu réveillé ma libido et le rêve de cette nuit m’avait beaucoup frustrée. J’avais besoin d’une bite ! Et de toute urgence. Je parlai de mon échange avec ma mère. Sylvie et Liz avaient eu un peu le même. La mère de Liz connaissait déjà cette boutique. Après tout, je me rappelai que Liz avait dit avoir vu ça dans les dessous de sa mère. Carine et Marie avaient été plus discrètes avec leur ensemble. Je leur racontai aussi le point de vue de ma mère à propos de la satisfaction que lui procurait l’admiration de mon père. Et que cela avait provoqué un rêve érotique chez moi. ...
... Les filles me dirent qu’elles en avaient fait aussi. La frustration sexuelle nous gagnait toutes.
En fin de journée, nous croisâmes Elisa. Elle était un peu énervée, excitée. Quand nous lui parlâmes de nos frustrations, elle nous avoua que c’était la raison de son énervement.
— Euh, peut-être que nous pourrions aller plus loin mercredi, proposa Carine.
— Plus loin que quoi ? demandai-je. Ah ? Oh !
— Ça pourrait être bien. Ça nous soulagerait plus sans doute, dit Sylvie.
L’idée me plaisait bien, mais je ne pensai pas que ça allait vraiment calmer ma frustration. J’avais besoin d’une bite ! Après, me faire bouffer la chatte par une copine était mieux que rien. Et je savais qu’elles faisaient ça très bien.
Le mercredi après-midi, nous nous baladâmes dans un centre commercial avant de nous rendre chez Elisa. Les mêmes jeunes des quartiers nous abordèrent, ils étaient quatre cette fois.
— Alors jolies demoiselles. Vous nous boudez encore aujourd’hui ?
— Oui. On n’a toujours pas besoin de gamins, lui répondit Elisa.
— On est des vrais mecs, nous ! Vous verriez bien si on vous baisait.
— Mais vous n’êtes que quatre. On va vous manger tout cru, me moquai-je.
Nous nous en allâmes vers de nouvelles boutiques. Je repensai à ces jeunes. Je devais être en manque, car je regrettais de les avoir jetés.
— Merde. Je regretterais presque de pas avoir été avec eux, me lamentai-je.
Problème pour moi, je ne venais pas de le penser, je venais de le dire tout ...