1. Petite pute pour daddies (5)


    Datte: 23/12/2021, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... tout d’un coup en moi.
    
    On dut m’entendre crier dans tout l’immeuble.
    
    Je suppliai Juan d’intervenir, mais il ne fit que me consoler, en me caressant et en me disant que, comme la veille au soir, j’allais m’y faire et qu’alors, ce serait un gigantesque panard, que j’étais belle sous l’homme, une jolie petite pute et que s’il avait bandé derechef, c’est deux bites que j’aurais eu dans le fion... ce qui ne saurait tarder.
    
    Il disait vrai, mais il me fallut ravaler mes larmes pendant un moment avant que l’énorme pieu ne commence à me faire du bien, un bien que je me gardais d’exprimer trop clairement, car, dès que je le faisais, il poussait si profondément qu’on aurait dit qu’il voulait faire entrer ses couilles et j’avais mal à chaque fois. Quand cela se produisait, il fallait quelques instants pour récupérer et que le plaisir reprenne les commandes et je me disais qu’il allait bien finir par éjaculer et me libérer de son étreinte qui était éreintante, car, non content de me bourrer le cul, il le faisait avec une telle force que j’étais secoué comme un prunier et, comme je me plaignis d’avoir aussi mal aux genoux, on me changea de place.
    
    Entièrement couché sur le dos, le mec s’allongea sur moi et me démonta dans cette position. C’est lourd un gars de 100 kilos qui remue juste son cul pour jouer avec son pénis dans votre chatte à peine dépucelée.
    
    Cependant, comme ses mouvements avaient moins d’amplitude, je trouvais cela plus agréable et franchement bon même. Mais, à ...
    ... chaque fois qu’on exprimait un début de contentement, David prenait cela pour une autorisation d’aller plus loin.
    
    Il me mit donc sur le dos, m’obligea à ramener mes jambes vers moi et se fraya un passage ainsi... Il est plus exact de dire qu’il me déchira. Et les très vigoureux coups de queue reprirent. Je n’avais guère le loisir de m’en réjouir ou de m’en plaindre, car sa langue occupait souvent ma bouche et s’y montrait aussi vigoureuse que sa queue dans mon cul. J’avais du mal à respirer et je bavais tout ce que je savais.
    
    Le type me besognait depuis au moins 25 minutes et cela n’en finissait pas. Je me disais qu’il n’en avait plus que pour quelques instants, que je sentirais le sperme s’écouler en moi à moins qu’il ne choisisse au dernier instant de juter ailleurs, mais je désirais surtout reposer mon pauvre corps écrabouillé par le mastodonte et peu m’importait où il allait répandre sa semence. J’en étais là de mes espérances quand on sonna à la porte.
    
    Juan s’en alla ouvrir. J’entendis des rires des voix, des bises qu’on claquait puis un brouhaha de choses diverses, des valises qu’on déposait... enfin, au bout de quelques minutes. Juan revint avec deux mecs. David, sans s’arrêter de me limer, mais en s’appuyant sur ses bras bandés à mort de part et d’autre de mon corps, jeta un regard en arrière. La conversation, en anglais, donna à peu près ceci.
    
    — Salut les gros porcs ! On se fait désirer bâtards !
    
    — Salut grosse queue !
    
    — Content de vous voir !
    
    — ...