1. Petite pute pour daddies (5)


    Datte: 23/12/2021, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... replantait le gars que je suçais et me remettait sa bite profondément.
    
    Tout à coup, le gars essaya de me mettre un doigt dans l’anus.
    
    — Va te laver le cul ! M’ordonna-t-il.
    
    Je me relevai donc pour obéir et satisfaire à ses intentions.
    
    Juan m’attrapa.
    
    — Bien à fond, car il va te pénétrer tout en profondeur.
    
    Puis il m’embrassa passionnément.
    
    Après cette toilette, toute en excitation mêlée de crainte en songeant au calibre que j’allais prendre, et après avoir grignoté quelques churros, je revins dans la fuckroom.
    
    Ils avaient changé de place, mais pas de position. Le grand barbu, David, était sur un banc, allongé sur le dos et toujours en train de se faire sodomiser. Mais, installé sur ce meuble, je pouvais me mettre en 69 au-dessus de lui comme c’en était le but.
    
    Mon activité reprit entre les deux queues. Juan limait le gars, me sortait son sexe et recommençait à le pénétrer, et moi je reprenais la grosse matraque à m’en déboîter la mâchoire. Pendant ce temps, David me bouffait les couilles ou l’anus.
    
    Enfin, Juan éjacula sur les roustons velus du colosse britannique, car David venait bien de là-bas.
    
    Aux cris précurseurs qu’il avait poussés, je m’étais arrêté de sucer pour profiter du spectacle et je reçus une giclée de foutre en plein visage. Le reste plut sur la bite, les couilles et la rondelle du gars qui grognait de contentement. Juan ramassa du sperme qui s’écoulait au-dessus du trou avec le bout de sa queue et la réintroduisit.
    
    Quant à ...
    ... moi, je mangeai les lourdes gouttelettes de sperme qui s’accrochaient aux poils des couilles avant d’avoir à sucer la bite de mon homme quand il la sortit définitivement.
    
    — A toi maintenant !
    
    David se leva. Debout, il était encore plus imposant et sa queue toute droite était dirigée vers moi, victime désignée et préparée.
    
    On me fit agenouiller sur un banc, et aussitôt, je sentis les poils de la barbe sur mes fesses. David me mangea le fion très longuement et sauvagement. Juan me faisait bouffer ses couilles ou sa bite molle, ou m’embrassait ou, encore, me pinçait les tétons, de plus en plus fort.
    
    Enfin, il y eut un doigt, puis deux, sans ménagement et sans plaisir pour moi.
    
    Je compris ce qu’il disait en anglais.: "J’vais enculer cette salope". Le reste était moins clair, mais Juan me fit comprendre qu’on avait l’intention de m’évaser la chatte et de me détruire bien à fond ; Juan recommanda d’y aller progressivement, mais, en termes de progression, ce fut tout de même rapide. Il y eut une bonne noisette de gel pour me graisser l’orifice sur lequel le gars appliqua son gros nœud. Puis il poussa. Le braquemart entra progressivement en me déchirant, mais il n’y eut pas de reprise. Le colosse entrait avec une régularité saisissante. Je serrais des dents et gémissaient. C’était trop gros, trop dur, trop douloureux. Je demandai qu’on fît une pause et, de fait, le machin s’immobilisa, mais un très court instant, avant que la brutasse m’agrippe par les épaules et entre ...