1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (7)


    Datte: 22/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... gants. Ensuite, je retire mon manteau et j’enfile à la place un autre vêtement plus oriental. Il tout juste 19h58 lorsque j’arrive sur le parking et me gare. Je mets un sms à Rachid « Suis là sur le parking ». Quelques minutes plus tard, il est là près de ma voiture.
    
    Je descends de ma voiture et Rachid m’inspecte des pieds à la tête. Il me dit
    
    — Pas mal du tout ! On te prendrait presque pour une vraie femme arabe si tu avais la peau plus mate !
    
    Il faut dire que je me suis fait un petit chignon et qu’un hidjab rose en soie de Médine me recouvre les cheveux, les oreilles et le cou. Le haut de mon corps et mes jambes sont dissimulées sous une abaya à ouverture – vêtement porté par-dessus tous les autres – en crêpe léger de couleur ivoire avec des strass noirs sur le rebord des deux poches et des manches.
    
    Rachid se rapproche, défait les boutons et ouvre le vêtement. Dessous, il découvre une superbe robe caftan en satin blanc avec broderies qui m’arrive jusqu’au chevilles. Comme la robe est largement fendue des deux côtés, Rachid glisse sa main et je comprends tout de suite qu’il vérifie que je ne porte pas de string comme il l’a exigé. Satisfait de son contrôle, il me dit
    
    — C’est parfait Nadiya. Tu m’as bien obéi !
    
    Sa main reste cependant entre mes jambes et il prend plaisir à constater ensuite que mon sexe est bien lisse comme il le souhaitait. Vérification faite, l’un de ses doigts se glisse dans ma chatte et me pénètre bien profondément. Je gémis sous cette ...
    ... intrusion sans préliminaire. Il me dit
    
    — Déjà mouillée et chaude ! Tu es vraiment une bonne salope. Allez viens !
    
    Contrairement à ce que je pensais, nous ne nous dirigeons pas vers l’un des immeubles mais vers un café-bar situé dans une petite rue juste à côté. La devanture de l’établissement est un peu défraîchie et ne paye pas de mine ; j’arrive tout de même à lire le nom du café sur l’enseigne « Café de Bab El Oued ».
    
    Rachid pousse la porte et j’entre derrière lui ; nous sommes accueillis par une musique raï. Il y a là une douzaine d’homme, certains jouent aux cartes, d’autres aux dominos, la plupart boivent le thé à la menthe. Quelques jeunes semblent avoir des boissons alcoolisées sur leur table et quatre ou cinq fument la chicha. Tous sont typés arabes, les plus âgés sont en djellaba, les plus jeunes en tenue plus décontractée. Bien évidemment, je suis la seule femme dans l’établissement.
    
    Je suis Rachid et nous arrivons près d’une table où un autre homme est déjà assis. Rachid lui
    
    — Salut Marouane, en forme ?
    
    L’autre lui répond
    
    — Oui ça va mon frère !
    
    Je remarque tout de suite que le dénommé Marouane me dévisage de la tête aux pieds. Rachid me dit
    
    — Mets toi à l’aise Nadiya et n’ai pas peur. C’est un pote !
    
    Je retire ma abaya et la pose sur le dossier de la chaise mais je conserve sur le hidjab qui me couvre les cheveux. Lorsque je m’assoie, les yeux de Marouane descendent aussitôt sur mes cuisses que l’on devine sous le fin satin blanc de ...
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