1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (7)


    Datte: 22/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Depuis le début de la semaine, je prends une bonne douche tous les soirs en rentrant à la maison après mon travail. Une fois sous le jet d’eau chaude, je me saisis de mon nouveau jouet érotique – le gros gode d’ébène – et, quand il est bien savonné, je me le glisse entre les fesses. Au début, je ne peux qu’introduire le bout du gland dans mon petit cul tellement l’engin est énorme. Par ailleurs, il faut bien dire qu’avant mes passages à la cité du Maroc, je ne pratiquais que le coït vaginal et mon mari Edouard n’a jamais cherché à pénétrer mon petit trou. Mais depuis que j’y ai goûté, force est de constater que j’y ai pris du plaisir.
    
    Au bout de quelques séances, je parviens enfin à loger tout le gland dans mon fondement et je connais déjà, dès que je passe en mode vibreur, des orgasmes fulgurants. Les yeux fermés, l’eau ruisselante sur mes tétons gonflés comme les bourgeons au printemps, je pense à l’énorme queue du concierge et je me gode comme une pucelle qui cherche à découvrir seule la jouissance.
    
    Après ma douche, j’enfile une courte nuisette et je me glisse dans le lit. Ce soir, Edouard me dit
    
    — Encore chérie ! Mais tu es insatiable en ce moment. Tu es certaine de ne pas être malade ?
    
    Avant de me glisser sous la couette, je lui réponds
    
    — Mais non chéri, tout va bien. Mais je crois que la privation de sorties au théâtre et au musée, ainsi que l’arrivée des beaux jours, ont tendance à booster ma libido.
    
    Avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, je ...
    ... poursuis
    
    — Heureusement que j’ai un homme sous la main ! Je me demande comment font mes amies célibataires ou divorcées.
    
    Une fois sous la couette, je prends sa queue en bouche et je le tète comme si c’était un biberon. Bien évidemment, cela n’a pas la saveur des fellations que je prodigue en d’autres circonstances mais c’est tout de même mieux que rien.
    
    Ce soir, Edouard est plus participatif que d’habitude car il m’oblige à sortir de sous la couette, me fait allonger sur le dos et vient sur moi. Il me grimpe dessus, plante sa queue dans ma chatte et me prends à une vitesse frénétique. Bien sûr, il jouit en moi avant que j’aie ressenti le moindre frisson dans le bas-ventre. Quelle médiocrité ! Pour faire bonne impression, je gémis tout de même avant qu’il se retire
    
    — Oh oui chéri, c’est bon !
    
    — Vide-toi bien en moi, j’aime sentir ta semence en moi.
    
    Cinq minutes plus tard il s’endort tandis que ma main descend sur mon sexe. Deux doigts dans la fente humide de ma chatte, je me masturbe en pensant à ces mâles qui m’attendent. J’ai hâte !
    
    Je n’oublie pas que Rachid m’impose d’être habillée comme une femme arabe lors de ma prochaine venue à la cité du Maroc. Profitant de ma pause du midi au travail, je fais une rapide recherche sur internet et je trouve un magasin spécialisé installé sur le boulevard Rochechouart dans le 18ème arrondissement. Comme je ne connais nullement la mode des femmes musulmanes, le mieux me semble d’aller sur place pour choisir et voir ce ...
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