Vengeances
Datte: 22/12/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
vengeance,
jalousie,
Oral
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... discuté, mettons-nous à l’ouvrage.
Incontinent elle se lève s’approche de Pierre et entreprend de le sucer devant l’épouse qui ne réussit toujours pas réaliser ce qu’elle voit et entend. N’a-t-elle pas la berlue ? Est-ce bien sa marquise de patronne qui l’a accueillie nue avec son Pierre également nu et qui lui demande son avis sur sa manière de baiser ? Après avoir œuvré, le temps de redonner fière allure à la verge, Antoinette-Marie se redresse et demande :
— Alors, Suzette, qu’en penses-tu ?
Cette dernière, qui bien que se disant que le monde est devenu fou, répond :
— Madame s’y prend fort bien. Il n’y a rien à redire.
— Fais-moi voir comment tu t’y prends.
— Bien Madame, répond-elle philosophe.
Elle s’agenouille à son tour et embouche ce que les lèvres de son employeur cajolaient il y a quelques secondes à peine. Elle se prend au jeu. Eh bien, puisqu’elle veut voir, elle va voir. Suzette y met tout son cœur, suçant, tétant, engloutissant, léchant du méat aux bourses. La marquise remarque :
— Tiens ! Je n’étais jamais descendue jusqu’aux couilles. C’est une bonne idée. Passons à la suite maintenant. Déshabille-toi et fais voir comment vous procédez.
La bonne, que tout cela a fini par enfiévrer, obéit prestement. Bientôt ses vêtements jonchent le sol. Elle pousse son mari sur le lit et l’enjambe. Elle a un soupir quand elle le sent bien au fond de sa chatte. Elle reste, quelques instants, heureuse de se sentir envahie, puis se met en mouvement, ...
... lentement d’abord. Le rythme s’accélère progressivement, jusqu’à devenir endiablé, puis ralentit, pour repartir de plus belle, plusieurs fois. Ils sont interrompus pas la marquise qui demande :
— Auriez-vous autre chose à me montrer ?
Bien qu’aimant bien cette position, Suzette obéit. Elle se fait prendre en levrette, ensuite en missionnaire, puis met les jambes sur les épaules de Pierre, avant de l’allonger sur le côté. Antoinette-Marie les arrête alors de nouveau :
— À mon tour. Tu me diras s’il y a quelque chose que je pourrais parfaire.
La domestique laisse sa place à regret. La marquise s’allonge sur le lit jambes pendantes. Pierre s’agenouille et s’enfonce dans le puits d’amour éclos. Suzette se met à quatre pattes au-dessus de sa patronne :
— Que Madame m’excuse. Je verrais mieux ainsi.
Puis un peu par provocation, un peu par désir et un peu pour voir les réactions de la femme que son mari baise, elle plie doucement les genoux. Son sexe s’approche lentement de la figure de la marquise. Icelle n’a point l’air de s’en offusquer. Elle regarde fascinée, elle n’avait jamais vu une chatte d’aussi près et en plus une qui vient de se faire baiser. Elle a une impulsion, elle saisit sa bonne par les hanches, l’attire vers sa bouche et s’applique à lui prodiguer ce qu’elle aime tant que les hommes lui font. Suzette quand elle sent les lèvres et la langue de sa patronne sur et dans son minou ne peut retenir un :
— Oh, qui n’est aucunement de désapprobation. ...