Le collier de la "chienne" ! (2) - Histoires de Sexe

Le collier de la "chienne" ! (2)

... l’embrassa passionnément. D’abord rétif, il se laissa aller au jeu de sa langue... et oui la chair est faible !!

Puis, l’emmenant dans son salon, elle commença à le déshabiller, il se laissa faire, déjà trop excité pour pouvoir faire quoi que ce soit. Elle le fit allonger sur le tapis rouge du salon, puis dézippa la fermeture de sa robe qu’elle laissa choir sur le sol, retira son chemisier blanc et lui apparut en bas, porte-jarretelles, soutien-gorge qu’elle enleva instantanément, le minou à l’air. Il revit alors sa petite toison de blonde, sa petite touffe qu’il adorait tant et elle, prenant son sexe d’une main, et le chevauchant, elle le dirigea vers sa grotte déjà tout humide d’impatience...

Ce jour-là, l’ayant quittée, il alla voir la Cécile II, l’après-midi, et lui fit l’amour passionnément aussi. En fin de compte après bien des périodes de misère sexuelle avec sa femme, il baisait deux femmes en même temps et en concevait une certaine fierté !

En fin d’après-midi, il retrouva Cécile I, qui l’emmena voir le marché de Noël, toujours vêtue de bas et porte-jarretelles en dessous de ses vêtements, chose qu’elle n’avait jamais faite auparavant... ce qui l’excita encore plus !

Il se dit qu’il était vraiment dommage, que pour que sa femme parvienne à revêtir ce genre de sous vêtements, il lui fallait se trouver en procédure de divorce... l’idée ferait suite dans son esprit !

Et le soir, il la baisa avec autant d’enthousiasme que le matin même, et la seconde en ...

... début d’après-midi !

Leurs petites séances devinrent presque quotidiennes. Elle l’appelait le soir, couchait les enfants, et se livrait alors à de véritables jeux de putain dans un bordel des années cinquante. Jamais elle n’avait aussi bien fait l’amour. Elle le suçait comme une déesse, elle se faisait baiser sous tous les angles et acceptait même de se faire sodomiser ! Ce qu’il lui avait toujours demandé, qu’elle avait tenté avec lui sans grande conviction, et qu’en fin de compte elle renonça à faire !

Et puis là, tout était permis et elle y prenait beaucoup de plaisir aussi !

En fin de compte, après environ deux mois, alors qu’il connaissait toujours des joies sexuelles indicibles avec l’autre Cécile, il se rendit compte qu’il ne l’aimait pas vraiment. Et comme l’on dit que le sexe dure six mois entre deux êtres, il préféra rejoindre la première, qu’il aimait vraiment, et qui se révélait être la putain de ses rêves !

Jamais il n’avait fait souffrir une femme jusque-là, c’est plutôt lui qui était le jouet des caprices de ces dames, mais là, il prit sa décision et rompit sa relation avec Cécile II. Elle pleura, mais il savait qu’elle avait déjà des soupirants en réserve...

et de fait, trois semaines après leur séparation, elle n’était déjà plus seule !

Il reprit alors des relations suivies avec sa femme, qui interrompit la procédure de divorce qu’elle avait démarrée, cela lui coûta quand même 1500 euros au passage... mais il était heureux de retrouver la ...