1. Nymphomane moi ? Tome I (4)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... l’air d’exciter le noir. La grosse main noire m’engloba le sexe, et il enfourna son majeur et son index dans la fente trempée. J’écartai les jambes pour faciliter ce doigté. Gérald admirait mon dos qui se trouvait devant lui, il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles, il le trouva ravissant, comme la propriétaire d’ailleurs, me dit-il. La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit où partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissu noire, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes.
    
    Il en approcha son énorme sexe et le glissa entre la peau et la bande de tissu, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna des idées. Il me pencha sur le bureau, me demandant d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, je sentis le gland qui faisait quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres de ma chatte. Le bout à chaque passage s’attarda sur mon clitoris et le frotta doucement. Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrai les reins. Ma vulve, bien lubrifiée, et pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier de... hors-normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir.
    
    Gérald fut étonné de la facilité de ...
    ... pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d’un mouvement puissant, enfonça son pieu entièrement. Je criai de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serrèrent fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetai de contentement. Puis, toujours en moi, il se recula en m’entraînant, s’assit sur une chaise.
    
    Il me mit face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir. Je ne sentais plus que cet énorme rouleau noir qui remontait le long de ma paroi vaginale, qui me mettait le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau crier de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire ruisselante de mon foutre jusqu’à la garde, et commençai des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui semblait encore avoir doublé de volume. J’appuyai fortement de tout mon poids, sur les cuisses de Gérald pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottai mes tétons durs comme de l’acier sur ce grand torse noir et glabre qui s’étalait devant moi, j’y écrasais mes seins, comme si je voulais les faire y entrer. Je l’embrassai, lui fourrant rageusement ma langue dans la bouche, lui mordant la sienne. Le plaisir montait rapidement en moi.
    
    Je commençai à être pas mal excitée depuis le matin, même si la pause déjeuner était passée par là.
    
    Gérard me souleva légèrement en faisant attention de ne pas retirer son pénis, je sentis ...