1. La bourgeoise et le marabout (55)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... réagit, retire la main de son caleçon, me saisit par la taille et me couche sur le lit près de lui. Il défait rapidement le lacet, ouvre grand ma nuisette et libère mes seins.
    
    D’un mouvement rapide, qui me surprend compte tenu de son gabarit, il retire son caleçon et le jette par terre. Il est maintenant sur moi, son sexe gonfle et cogne entre mes jambes. Il me dévore la bouche, joue avec ma langue, m’embrasse le cou et vient me mordiller les seins. De ses deux mains, il me maintient les bras écartés de part et d’autre de ma tête et je suis dans l’impossibilité de bouger.
    
    J’ai réveillé l’animal qui est en lui et j’imagine qu’après de longues journées d’abstinence, le fauve a besoin d’apaiser ses envies. Tout en m’obligeant à ne pas bouger et à bien écarter le compas de mes jambes, il remonte un peu vers le haut et son gland commence à investir ma chatte. Je me donne et je m’abandonne comme une simple prostituée qui se doit à son client. Le voilà maintenant bien planté au fond de ma chatte. Il libère mes mains puisqu’il sait que je ne peux plus lui échapper. Ces énormes mains calleuses me pressent et me malaxent les seins. J’ai vraiment l’impression de n’être qu’un objet de plaisir entre ces grosses paluches.
    
    Il me saisit maintenant par les hanches et me besogne avec ardeur. Ma chatte est grande ouverte par ce gros gourdin de chair, je mouille et cela facilite la saillie. Lui ne dit rien et fait son affaire. Je l’encourage de la voix.
    
    — Oh oui, encore plus fort. ...
    ... Baisez-moi comme une salope. Je suis votre petite pute.
    
    Soudain, il se retire, me retourne comme si je n’étais qu’un simple fétu de paille et m’allonge sur le ventre. Il s’empare de deux coussins et les glisse sous mon ventre. Me voilà maintenant la croupe surélevée dans une posture que j’imagine des plus obscènes. Il se met à califourchon sur mes jambes, crache deux ou trois fois dans sa main et m’enduit le sillon fessier de sa salive. Il n’a même pas la délicatesse de me lubrifier le conduit avec l’un de ses doigts. Je suis sa pute d’un soir et il doit se dire qu’ici comme au bois, le client est roi.
    
    Son gland se pose sur ma rosette et il commence à forcer. Je respire fort et veille à bien me détendre pour lui faciliter le travail. Ca y est, il a pris possession des lieux et peut maintenant poursuivre plus en avant ses investigations. J’ai l’impression d’être prise par un marteau-piqueur tellement ses coups sont puissants et me secouent le corps. J’aime cette impression de n’être qu’un objet sexuel, une travailleuse du sexe toute dédiée au plaisir des mâles. Je relève un peu plus haut les fesses pour que sa bite aille encore plus loin. Je vais à contre-courant de ses assauts pour que l’accouplement soit encore plus puissant et profond.
    
    Cela fait maintenant une bonne demi-heure qu’il me baise et m’encule avec force. Soudain, ses mains se font plus pressantes sur mes hanches, il me maintient bien en place, penche son buste en avant et me mordille la nuque.
    
    Dans un ...