1. Maison d'arrêt (3)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... faire durcir, mais c’était inutile. Philippe était déjà raide comme une trique !
    
    J’avais attendu cet instant avec impatience, mais la vue du gros gland violacé me fit peur. J’allais réellement le sentir passer !
    
    Mon amant dut lire dans mes pensées. Au lieu de me retourner aussitôt et de me prendre d’un coup sur le canapé comme il aurait pu le faire, il me releva et m’embrassa de nouveau.
    
    — Ne t’inquiète pas, ça va très bien se passer. Ce n’est pas le premier petit cul que je déflore !
    
    Je sentis sa main retrousser ma robe puis son index s’enfonça dans mon anus. Je fus un peu surprise, mais je ne fis rien pour l’en empêcher. Bien au contraire, je m’efforçais d’écarter les fesses au maximum pour lui faciliter la tâche.
    
    — Comment ça j’étais déjà une belle salope !
    
    Vous n’y êtes pas du tout, c’était juste pour éviter des souffrances inutiles. C’est stupide de serrer les fesses quand on veut mettre un suppositoire.
    
    Je sens que vous n’êtes pas convaincus. Bon c’est vrai j’avoue. Quand j’ai senti son doigt contre ma rosette, j’ai eu une érection. J’avais envie qu’il l’enfonce d’un coup. C’est d’ailleurs ce qu’il a fait ce salaud !
    
    Je poussais un petit cri en prenant la voix la plus aiguë possible.
    
    — Chéri, doucement. Je suis encore vierge !
    
    — Plus pour longtemps ma belle. Ce soir, je vais t’exploser le fion !
    
    — Mon Dieu, quel vocabulaire ! Je te rappelle que tu parles à une demoiselle !
    
    Pour toute réponse, il me fourra 2 autres doigts et se mit à ...
    ... les tourner sans ménagement dans mon anus. Je bandais maintenant comme un âne.
    
    — Oh Johana, tu m’excites comme un fou.
    
    — Oui, je sais. Je sens ta grosse bite contre mon ventre.
    
    — Tout à l’heure, c’est dans ton cul que tu vas la sentir.
    
    — Tu es toujours aussi poétique à ce que je vois. Vas-y mon chou, baise-moi !
    
    Je n’avais jamais été pénétré, mais j’en mourrais maintenant d’envie. Je ne pouvais plus attendre.
    
    — Oui baise-moi, prends-moi comme une chienne, défonce-moi le cul...
    
    — Ah, c’est ça que tu veux salope. Que je t’explose le fion. Et bien tu vas être servie.
    
    Il me retourna d’un coup et me jeta sur le canapé. Je relevais ma robe et écartais les fesses au maximum afin de bien présenter mon cul en offrande. Je sentis une substance huileuse et froide. Philippe me beurrait l’anus avec un gel lubrifiant. Je le remerciais intérieurement de cette délicate attention.
    
    Une demi-seconde plus tard, c’est sa queue que je sentis s’appuyer sur ma rosette. Mon petit cul de vierge n’était pas encore assez dilaté pour son gros gland et il se mit à donner des coups de boutoir pour forcer l’entrée.
    
    Ca faisait horriblement mal. Les larmes me montèrent aux yeux. Je surmontais la douleur en me disant:
    
    — C’est le prix à payer pour ta protection, ta tranquillité, ta sécurité...
    
    La petite voix moralisatrice retentit soudain dans ma tête. Il y avait un moment que je ne l’avais pas entendue, cette connasse.
    
    — Non, mais quelle menteuse ! Tu l’as voulu sa bite ...