1. Maison d'arrêt (3)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... salope.
    
    Il la fouilla dans tous les sens sans ménagements. Mais ce n’était rien comparé à sa queue qui l’avait violé quelques heures auparavant.
    
    Au début, je me laissais faire comme une femelle soumise. Mais au bout de quelques minutes, c’est moi qui lui violais la bouche avec ma langue telle une pute en chaleur.
    
    Philippe appréciait manifestement. Je sentais sa queue se dresser contre mon ventre. Je savais qu’elle allait bientôt me casser le cul, mais je n’avais plus d’appréhension. Au contraire, je n’attendais que ça. J’espérais juste qu’il ne serait pas trop brutal... enfin, pour la première fois.
    
    J’étais comme dans un rêve. Mon homme aurait pu me prendre sur la table devant tout le monde s’il avait voulu. Je n’aurais rien fait pour l’en empêcher... Au contraire.
    
    Philippe s’en rendit compte et déclara à l’assemblée:
    
    — Mais c’est qu’elle est vraiment pressée de se faire enculer cette petite !
    
    Ses amis pouffèrent de rire. J’étais rouge de honte, mais il avait raison, j’avais hâte de sentir sa grosse queue entre mes fesses.
    
    — Ne sois pas si pressée. Viens manger. Tu vas avoir besoin de prendre des forces pour ce qui t’attend.
    
    Dans un geste de galanterie, il tira sur ma chaise et m’invita à m’assoir.
    
    Je n’osais lever les yeux durant le repas. Je sentais tous les regards braqués sur moi, je devinais ce que devaient se dire les hommes du boss à mon sujet :
    
    — Elle va ramasser dur la petite salope.
    
    — Oh oui, elle va se faire défoncer la ...
    ... rondelle grave.
    
    — En tout cas, elle a l’air drôlement pressée de se prendre la bite du patron dans le cul. Tu l’as vu comment elle l’a chauffé cette petite pute ! Elle va le regretter, elle fera moins la maligne demain avec le cul en chou-fleur !
    
    Il me semblait entendre leurs ricanements, mais cela ne me gênait pas au contraire. J’aimais qu’on me considère comme une pute, qu’on me prenne pour une salope. Mais je ne leur ferais pas le plaisir de me plaindre demain, même si j’aurais le cul complètement explosé. Je leur ferais voir de quoi elle était capable... la "salope".
    
    A la fin du repas, Philippe m’offrit son bras pour m’aider à me lever de ma chaise. Pour le remercier, je plaquais ostensiblement ma main sur sa queue. Je voulais prouver à tout le monde que je n’avais pas peur de ce qu’elle allait me faire. Plus encore, je crois que je voulais montrer à tous que je la désirais.
    
    Philippe me donna une bonne claque sur les fesses.
    
    — Allez ma jolie, en piste. Il est l’heure de passer aux choses sérieuses.
    
    Il m’offrit son bras tel un amant voulant promener sa dulcinée. Je l’agrippais et me serrais contre lui telle une femme soumise.
    
    Philippe était fier comme un paon pendant qu’il me conduisait dans la chambre nupti..., pardon je veux dire sa cellule.
    
    Ca y est, le moment était arrivé. Je m’assis sur le canapé et entrepris de déshabiller mon homme. Je m’attaquais d’abord à sa braguette puis libérais sa grosse queue. Je la pris tout naturellement en bouche pour la ...