Une autre vie commence. (19)
Datte: 18/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... mais nous allons y aller. J’apprécie que tu aies fait en sorte de prendre en compte mon avis. Et bien sûr d’avoir pensé au baptême de notre petit sucre d’orge.
— Aïe ! Pourquoi m’as-tu pincé le bout ?
Tout en parlant Josiane qui lui caressait le sexe venait de lui pincer le gland. Elle le fixait d’un regard sérieux tout en affichant un petit sourire.
— C’était seulement pour voir si j’avais toute ton attention. Juste pour savoir si tu m’écoutais ou si ton esprit se dirigeait vers ton petit oiseau que je caresse. Et peut-être un peu pour te dire que je peux me transformer en tigresse si tu mets un coup de canif dans le contrat.
Il la regarda en écarquillant les yeux, il n’était pas vraiment surpris de cette réaction à retardement. Par contre, il s’attendait moins à cette annonce. Elle envisageait donc de s’éloigner pour une période assez longue de ses parents.
— Ma petite chérie, tu sais bien que tu es la seule que j’aime. Et bien sûr sans oublier Viviane notre princesse. Je ne vois pas pourquoi je te tromperais. Côté sexe, tu sais bien que nous pouvons faire tout ce qui te passe et passera par la tête.
En souriant, Josiane lui prit sa tête entre les mains pour l’embrasser sur la bouche.
— Hum ! J’adore entendre ce genre de parole. Oui, tu es bien à moi, comme je suis tienne. Ha ha ha ! Vraiment ? Je pourrais faire tout ce qui me passe par la tête ?
— Hé ! Ne t’emballe pas tout de même.
— Ce qui est dit est dit.
— Bon, d’accord, tu as gagné encore ...
... une fois. Es-tu certaine de vouloir aller aux USA ? Entendre parler anglais tout le temps, au bout d’un moment cela fatigue.
— Aïe ! Que t’ont fait mes fesses ?
— C’est ça ! Prends-moi pour une cruche, je parle cette langue aussi bien que toi. Le plus difficile sera d’être éloigné de mes parents et du manoir.
— Tu n’es pas obligé de faire ça. De plus, Viviane est encore petite, même en retardant le départ elle n’aura qu’un an.
— Ne te tracasse pas, tout se passera bien. J’y vois un avantage, notre trésor sera totalement bilingue. Tu vas pouvoir en parler à la grande patronne. Je suis certaine que si tu refuses d’y aller, elle te mettra dans un placard.
Songeur Charles regardait sa femme, il se disait que ce joli petit bout aux seins dressé avait bien cerné la situation. Une fois de plus, il se dit que le destin avait bien fait les choses. C’était indéniable, il en était éperdument amoureux.
— Pourquoi me regardes-tu avec ces yeux de merlan frit ?
— Ha ha ha ! Je dois avoir une drôle de tête alors. J’étais simplement en train de me dire que je t’aime et que tu es la meilleure chose qui soit arrivée dans mon existence ; en plus bien sûr de notre petite fille.
— Hum ! Je t’aime moi aussi mon trésor. Vite ! Débarrassons le comptoir, sinon tu vas être en retard. Et il faut te vêtir, je ne voudrais pas que ton petit oiseau s’enrhume.
La répartie de Josiane le fit rire, en regardant la pendule il put vérifier qu’en effet il était temps de bouger. Le bruit ...