1. Voitures et volatiles


    Datte: 08/08/2018, Catégories: ffh, jardin, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, zoo, délire, Humour fantastiqu, merveille, hff, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... fesses merveilleuses. Mes mains les abandonnèrent également pour aller fermer l’eau. Bazouk poursuivit :
    
    — J’ai dû faire plusieurs essais ; mais je t’en ai laissé quelques-unes qui sont pas mal réussies.
    
    Quelques-unes ! Mais où est-ce qu’il les avait foutues, ce bougre d’âne ?!? Je n’osais même pas imaginer l’état de ma pelouse devant la maison. En sortant, je baragouinai :
    
    — Euh… okay… merci… je vais aller voir ça dès que je serai prêt.
    
    Attrapant ma serviette et apercevant Pandore qui sortait de la douche derrière moi, et surtout pris de la flemme de faire deux mètres pour aller prendre deux serviettes pour mes donzelles, je décidai de mettre mon génie à contribution :
    
    — Tiens, en attendant, Bazouk, tu veux bien nous faire apparaître deux belles et grandes serviettes pour ces dames ?
    
    Il ferma les yeux et murmura vaguement un truc incompréhensible ; il y eut un minuscule éclair blanc et deux magnifiques serviettes de table, en soie et cousues de fil d’or, apparurent soudain à mes pieds. Je jetai à mon génie un œil noir.
    
    — Hé hé hé, fit-il, penaud, ce n’est pas exactement ce que tu voulais, peut-être…
    
    Il claqua des doigts en psalmodiant une fois encore ; dans un nouvel éclair, les deux étoffes disparurent pour être immédiatement remplacés par deux belles serpillières, puis, avant que j’aie eu le temps de l’engueuler, par deux grandes housses de couette multicolores.
    
    Je décidai finalement de ne même pas l’engueuler, mais de l’ignorer et d’aller ...
    ... chercher moi-même deux serviettes. Tiens, non ; ce seraient deux peignoirs ; ça les habillerait même, d’ici que Bazouk parvienne à leur faire des fringues, ce qui était loin d’être gagné. Le temps que je ramène les peignoirs aux jeunes femmes, les housses de couette avaient encore été remplacées par deux descentes de lit, par deux rideaux, puis par deux rouleaux de tissu, le tout dans une ambiance stroboscopique. Azura et Pandore se marraient gaiement en observant Bazouk s’agacer un peu plus à chaque nouvelle tentative. Je les vêtis des peignoirs, bien trop grands pour elles ; elles me remercièrent d’un sourire. Par terre se trouvaient désormais deux morceaux de toile cirée, qui se changèrent sous mes yeux en deux abominables torchons de grand-mère avec de grands carreaux rouges et blancs.
    
    — Bon, t’arrêtes tes conneries ! beuglai-je finalement.
    — Oui, il y a quelque chose qui cloche… admit-il.
    — Et remballe-moi tes torchons !
    
    Claquant des doigts, il les fit disparaître. Moi j’étais toujours à poil ; je ramassai ma serviette et achevai de me sécher. Et soudain, je vis l’heure.
    
    — Meeeeeerde ! Je vais être grave à la bourre, moi !
    
    Il me restait environ trois minutes pour me sécher, me raser, m’habiller, déjeuner, boire un café, boire un autre café et sauter dans ma bagnole. Aaah ! Ma bagnole ! Est-ce qu’au moins je pourrais la sortir de chez moi, avec les « plusieurs essais » de ce génie de Bazouk !
    
    Bon, fallait que je fasse les choses dans l’ordre en essayant ...
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