1. Voitures et volatiles


    Datte: 08/08/2018, Catégories: ffh, jardin, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, zoo, délire, Humour fantastiqu, merveille, hff, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... terrain, le chef venait d’essuyer les refus successifs de Lenœud et de Duboudin et commençait apparemment à envisager de se taper finalement Azura.
    
    — Tu parviendrais à les endormir ? m’enquis-je.
    
    Bazouk parut hésiter, mais finit par acquiescer plus ou moins :
    
    — Je dois pouvoir essayer.
    
    Ouh là ! C’était loin d’être gagné, ça… Bon, on allait quand même tenter ça.
    
    — Okay, alors vas-y.
    
    Il joignit ses mains et ferma les yeux. Je m’écartai prudemment. Il psalmodia deux ou trois étranges formules jusqu’à ce qu’un éclair semble fuser du creux de ses mains jusqu’au cul du chef qui fit un bond de deux mètres et se mit ensuite à courir en tous sens en hurlant, la queue encore tendue mais les bras levés au ciel. Au bout d’une quinzaine de secondes, je commentai :
    
    — Il m’a pas l’air franchement endormi…
    — Attends, ne me presse pas…
    
    Le temps que Bazouk recharge ses pouvoirs pour retenter une nouvelle incantation, j’aperçus le chef, toujours bandant, diriger sa course vers l’autruche. Le pauvre animal se mit aussi à courir pour échapper à la furie zoophile du policier. Un nouvel éclair fendit l’air vers ce dernier qui s’immobilisa immédiatement, demeurant figé dans sa course et dans son érection. En m’avançant vers lui, je constatai avec quelque effroi que le malheureux avait été littéralement pétrifié.
    
    Mais avant même que je n’eus le temps de l’engueuler, Bazouk lança un nouveau sort qui annula heureusement l’effet du précédent ; l’homme reprit instantanément ...
    ... sa course pour quelques mètres avant de s’effondrer lourdement sur le sol sans plus bouger d’un poil. J’allai m’agenouiller à côté de lui ; cette fois-ci, c’était peut-être bon : il avait l’air de dormir pour de vrai. En tout cas, il ronflait. Je soupirai de soulagement et engueulai quand même Bazouk, par acquis de conscience.
    
    Un profond gémissement attira notre attention ; c’était le dénommé Duboudin qui était en train de jouir sous les caresses de Pandore.
    
    — Allez ! Vite ! implorai-je.
    
    Bazouk s’exécuta et lança des éclairs en tous sens. Et l’instant d’après, nous constations que Duboudin et Lenœud dormaient à poings fermés, tout autant qu’Azura et Pandore, cette dernière portant sur le visage quelques traces de sperme. Je soupirai en regardant mon génie d’un œil noir. Pendant qu’il cherchait à trouver le sort qui permettrait de réveiller les deux jeunes femmes, et préférant ne pas assister à tous les maléfices d’essai qu’il lancerait avant de trouver le bon, j’allai chercher les uniformes des flics que je rapportai près du quatuor endormi, puis j’allai ramasser le lourd corps du chef pour le ramener près des autres.
    
    — Quand tu auras éveillé Azura et Pandore, dis-je à Bazouk en désignant les corps des flics, tu leur refoutras leurs fringues.
    
    Je rentrai ensuite dans la maison chercher une bouteille de whisky à moitié vide, pour parfaire mon plan. Dans un réflexe, j’en bus une grande rasade. Ah, ça commençait à aller mieux… Ma boule dans le ventre s’éloignait ...