1. Voitures et volatiles


    Datte: 08/08/2018, Catégories: ffh, jardin, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, zoo, délire, Humour fantastiqu, merveille, hff, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... à me demander ce que Bazouk était en train de nous préparer.
    
    — Je peux emprunter votre téléphone ? me demanda le chef, apparemment quelque peu gêné.
    
    Avec un grand sourire, je lui répondis que j’avais résilié mon abonnement et qu’ici mon portable ne captait pas. Il soupira bruyamment en regardant les bites de ses collègues. Je replongeai mes yeux sur les fesses ensorceleuses d’Azura.
    
    — Bon, puisque c’est comme ça… lâcha finalement le chef.
    
    Je le regardai, me demandant ce qu’il voulait dire. Il s’avança vers moi d’un pas décidé et, arrivé à un mètre de moi, il enleva à son tour son képi et saisit son sexe durcissant à pleine main en s’approchant encore, me couvant d’un regard avide et brûlant.
    
    Mais non ! Là y avait grave pas moyen !
    
    — Euh… attendez, risquai-je quand même, on va peut-être pouvoir trouver un téléphone, vous savez…
    
    Pour toute réponse, il se campa à trente centimètres de moi et se mit à se masturber vivement en soufflant et en bavant presque.
    
    — Vous préférez pas attendre qu’une des demoiselles ait terminé ? tentai-je encore.
    — Rrrrhmmmuuu ! Allez, mon cochon, suce ma grosse bite ! répondit-il subtilement.
    
    Les autres flics se marraient gaiement ; j’aperçus aussi Azura me lancer un regard amusé. Mais moi, je ne riais plus. Je me relevai à toute allure et m’écartai vivement de lui, qui continua à se branler fermement en s’approchant désormais du dénommé Duboudin, le contournant pour tenter une approche par l’arrière.
    
    Je laissai tout ...
    ... ce beau monde se dépatouiller et courus vers le dernier endroit où j’avais aperçu mon génie, quelques minutes auparavant. Il était toujours là, soigneusement caché derrière un bosquet, à quelques mètres de l’autruche qui se promenait inlassablement. Bazouk portait toujours son air satisfait. J’hésitais entre l’engueuler ou le féliciter. Mais je décidai quand même de l’engueuler :
    
    — Tu as vu où nous mènent tes délires ? Faire voler la voiture jusqu’au bout de l’allée… je te jure ! en voilà une idée à la con !
    — Oui. Je suis désolé, Gufti.
    — Ben au moins on se marre bien… tu as foutu un beau bordel dans leur enquête, à ceux-là… Mais comment tu as fait pour faire disparaître leur bagnole ?
    — Je ne l’ai pas fait disparaître ; je ne peux effacer que ce que j’ai créé. Je l’ai simplement déplacée de quelques mètres.
    — Et leurs vêtements aussi ?
    — Oui, ils sont juste là.
    — Dis donc, je veux pas être chiant, mais tu trouves vraiment que c’est dans mon intérêt et dans celui du reste du monde, tes conneries ?
    — Ces personnages allaient probablement t’importuner et il ne s’agit que d’une blague, sans gravité.
    
    Il avait presque repris mot pour mot les paroles que je lui avais adressées lorsque j’avais essayé de le convaincre de mettre un poulet sur la tête de la vieille Lamoule.
    
    — Sans gravité, c’est vite dit ! Ils vont forcément me faire chier à mort, après tout ça… C’est pas avec quelques pipes et en leur rendant leurs fringues qu’on va s’en sortir…
    
    À l’autre bout du ...