1. Un serpent dans son sein


    Datte: 16/12/2021, Catégories: fhh, hbi, candaul, forêt, hotel, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... sur la serviette que la maîtresse de maison mettait pour le protéger.
    
    Ils ne l’ont pas protégé. Son dessus de lit va en conserver des traces.
    
    Traces de foutre que la femelle n’arrive pas à retenir alors que son mari lui jute dans la gorge.
    
    Traces de foutre que l’amant balance dans la fente et qui ne va pas manquer de couler lorsqu’il va se retirer.
    
    C’est fait. Oh, je ne veux pas dire que je viens de cocher sur une longue liste de choses à faire, mais c’est un peu ça tout de même.
    
    J’ai la preuve. Ce n’est pas une vraie surprise, mais une confirmation évidente. Je viens de regarder ma femme sucer Damien, de se faire prendre par lui et j’en ai été tellement excité que cela m’a semblé une évidence de me faire sucer par elle alors que son amant la bourrait.
    
    Preuve par 9, vous savez, souvenir de l’école, croix inclinée où l’on vérifie une opération. J’ai aimé. Oui, je crois que je n’ai jamais abreuvé mon épouse de tant de sperme comme si de la baiser à deux faisait des miracles.
    
    Chacun reprend son souffle. Chacun cherche quelle contenance avoir. Ce n’est pas si évident une fois que le plaisir est passé.
    
    — Je vais chercher à boire.
    
    Je dis. Voilà une façon un peu lâche de sortir du jeu et de l’ambiance qui commence à peser.
    
    Le temps de prendre une nouvelle bouteille, un plateau, trois flûtes et je reviens.
    
    Ils sont nonchalamment installés, en haut du lit, bien calé par des oreillers et coussins. Ils parlaient avant que je n’entre, mais se taisent. Ce ...
    ... n’est pas agréable ! Cela donne l’impression de déranger.
    
    — Je demandais à Damien si je lui dois vraiment de nous retrouver ici.
    
    Elle est un peu gênée, mais son amant renchérit.
    
    — J’ai répondu que tu l’aimais trop pour risquer de la perdre.
    
    C’est bon d’avoir un ami, un vrai, même s’il a tout à gagner de cette situation.
    
    — Il a raison. Je t’aime trop… Trinquons. Buvons à nos amours, qu’ils durent toujours, comme dit la chanson.
    
    Nous buvons, complices, conscients que nous venons de franchir une étape et que d’autres se profilent.
    
    Le pied de Camille est tout près de moi. Je me penche pour poser un baiser sur la cheville. C’est un jeu bien classique entre nous. Mes lèvres remontent lentement, déclenchant des frissons. La douceur de l’intérieur de la cuisse n’est pas une légende. Mes lèvres laissent des sillons de salive. J’atteins l’aine, je la saute pour venir effleurer son intimité. J’ai sous les yeux des lèvres humides et une crème qui suinte de sa fente. Alors que je vais y plonger les lèvres, Camille me dit :
    
    — Chéri… C’est… je ne me suis pas nettoyée. Attends je vais…
    
    Mais sans parler, je lève la main pour imposer le silence.
    
    J’en connais le goût et pourtant il est différent. Combien de fois ai-je dégusté le foutre de mon amant ? Souvent. Au fil de notre relation, j’ai évolué vers « passif », même si parfois des envies me conduisent à retourner les rôles, me faire sucer et enculer Damien avec mon gros machin.
    
    La crème suinte. Chaque goutte ...
«12...181920...»