Un serpent dans son sein
Datte: 16/12/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
candaul,
forêt,
hotel,
vengeance,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... »
Moi aussi je l’aime sinon elle ne serait pas avec nous. Mais l’amour n’excuse pas tout et il faut effacer les ardoises l’une après l’autre.
— Allons dans la chambre.
Damien ne se le fait pas dire deux fois. D’une secousse herculéenne, il se lève en entraînant la femelle. Je n’aurais pas pu le faire. Nous voici cheminant dans la maison, couloir, escalier, couloir, notre chambre. Le lit nous tend les bras, lit conjugal que ni moi ni mon épouse n’a trahi dans un étrange respect.
Il la pose sur le lit. Elle dénoue ses jambes des hanches de son amant. D’un geste il lui fait signe de se tourner. Elle s’exécute. La voici à quatre pattes sur le lit.
Il en a connu, ce lit, des séances de baise.
Baises tendres, délicates du matin, cuillère sans sortir de la chaleur des couvertures, pénétration d’un vagin humide, va-et-vient sans gros efforts avec une croupe qui se tend.
Baises du soir plus ou moins imprévues qu’un déshabillé, un sein nu, un mouvement qui découvre l’intimité déclenchent.
Mais aussi baises de jour, aboutissement d’un désir plus brutal, impossible à contenir, parfois commencé ailleurs dans la maison.
Mais il n’a pas connu ce qui se dessine à traits légers, presque pointillés, vite soulignés par des désirs qui emportent.
Il voit la propriétaire des lieux se positionner afin qu’un autre que le propriétaire vienne l’embrocher d’un mouvement dont la fluidité dénonce une pratique affirmée.
Il voit le propriétaire être le témoin de la lente ...
... disparition de la tige dans une fente accueillante.
Il sent que le couple s’active. La femelle venant autant au-devant du mâle, et le mâle se faire une joie de l’enfiler bien à fond, mains crispées sur les hanches de la chienne.
Il sent que le voyeur s’approche encore. Le lit ondule. Jamais il n’a supporté tant de poids, même lorsque l’enfant du couple venait rejoindre ses parents pour un moment d’affection et de tendresse.
Il sent que le trio est aligné. Que le mari est venu s’agenouiller en face de son épouse. Que d’une certaine façon les deux hommes limitent la possibilité de mouvement de la femelle. Mais elle ne cherche pas à fuir. Au contraire, elle accepte sa prison, prison de chairs toutes tendues pour une seule et même cause : le plaisir.
Le lit ressent. Il cherche, à son niveau, à participer à ce qui se passe sur lui, accentuant chaque mouvement, fléchissant, ondulant, se creusant.
La femme a pris le sexe entre ses lèvres.
L’amant la baise avec délice.
Le mari appuie ses deux mains sur la tête qui le gobe.
Pour un peu, le lit regrette de ne pas avoir de ressort et de ne pas pouvoir grincer pour apporter sa dose de sons qui remplissent la chambre.
Il sent de l’humidité. Les lèvres gourmandes n’arrivent pas à retenir toute la salive que la chienne produit. Cela lui rappelle qu’il y a quelques années la femme s’entraînait sur lui pour gober des godes jusqu’à plus soif, et que souvent elle se donnait une récompense en se caressant jusqu’à juter ...