1. J’ai niqué ma bourgeoise de patronne


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Mature, Auteur: billy2659, Source: xHamster

    ... attouchements et elle est assise toujours plus au bord du siège. Un peu de sa sève de femme coule sur ses cuisses à chaque fois que mes doigts ressortent de son trou. Je branle son clito sans pudeur, comme elle me l’a demandé. Puis, une idée me traverse l’esprit, presque naturellement. J’ai le visage à quelques centimètres de sa vulve et, insensiblement, je m’en approche, jusqu’à poser la bouche sur son sexe. J’embrasse son clito dans un baiser indécent. De la main gauche, je le fais bien ressortir de sa cachette, le pince entre deux doigts. Je le serre dans mes lèvres et commence à le sucer doucement. Cette fois-ci, Nicole réagit violemment :
    
    – Oh le petit salaud, il me tète le bouton ! Il me suce la mini-bite ! Quel pervers ! Quel salopard !
    
    Ces paroles crues renforcent encore ma motivation. Je tire un peu la langue et viens en déposer la pointe au sommet du petit gland. Dans un mouvement indécent, je la fais tourner délicatement. De temps à autre, j’enveloppe complètement le mini-membre, parfois je le râpe avec le plat de mon muscle. J’ai l’impression de rouler une véritable pelle à sa bouche vaginale. Nicole s’excite sur son siège et je reçois sur mes lèvres une quantité abondante de mouille qui se mêle à ma salive et que j’avale sans remords.
    
    – Ah, le morveux, voilà qu’il me suce le bout maintenant ! N’arrête pas, vicieux ! Tête moi la petite queue ! Oui, bouffe-moi la tige encore, encore !
    
    Moi aussi, je suis excité. Les doigts de ma main gauche remplacent ...
    ... ceux de ma main droite dans sa foune et j’extrais rapidement ma bite de mon petit short. J’empoigne mon membre et commence à me masturber frénétiquement. Nicole a pris ma tête et la maintient serrée contre son chat, j’étouffe presque mais je ne relâche pas la pression sur son sexe. Juste, sous ma bouche, mes doigts vont et viennent de plus en plus vite dans son conduit d’amour. Je la pilonne, je la bourre, je la nique. Ma bite me fait mal tellement je bande, je calque le rythme de ma branlette sur celui du piston qui taraude la patronne. Je l’entends une dernière fois :
    
    – Oh, l’obsédé se branle, il se touche la queue en me bouffant la fente ! Quel pervers ! Viens, jouis avec moi, jute maintenant ! Mais surtout, laisse ta bouche sur ma chatte ! Oh, je pars, je jouis ! Ouiiiiiiiiiii ! C’est bon, c’est trop bon ! Salopard !
    
    Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps qu’elle. Au moment où elle a crié son plaisir, j’ai senti ma bite qui se contractait entre mes doigts et un puissant jet de foutre est parti s’écraser sur le bas du fauteuil. Mes deux doigts qui limaient sa vulve se sont retrouvés presque prisonniers, tant sa jouissance a été violente. J’ai même l’impression que son bouton s’est tendu encore plus dans ma bouche au moment de l’extase finale.
    
    Quand j’ai eu fini de me vider les couilles, j’ai constaté que Nicole était inconsciente sur son siège. Dégrisé, je me suis senti un peu coupable et, sans réfléchir, j’ai remonté mon short et me suis enfui prestement, sans ...