1. J’ai niqué ma bourgeoise de patronne


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Mature, Auteur: billy2659, Source: xHamster

    Je travaille depuis quelques mois dans une petite entreprise de ma commune ou j’exerce les fonctions d’homme de services. Je m’occupe de toutes les tâches d’entretien que nécessite l’activité d’une PME industrielle. Je suis bricoleur et travailleur. Comme souvent dans ce genre de petite boîte, il arrive au patron de me demander quelques services pour son compte personnel. Voilà pourquoi, cet après-midi, je suis en train de tondre la pelouse de sa maison bourgeoise. J’ai été gentiment accueilli par son épouse qui est seule au domicile familial. C’est la première fois que je rencontre cette jolie femme d’une trentaine d’années. J’ai été surpris de découvrir, Nicole, une belle blonde sympathique et accueillante. Il faut dire que son mari, la quarantaine bedonnante bien dépassée, n’a rien d’un top model et une personnalité plutôt rigide.
    
    Il fait chaud et je viens de passer la tondeuse sur près de 10 ares de terrain. Nous sommes en plein mois de juillet et, à 15 heures, le soleil est encore haut dans le ciel. J’ai déjà vidé la bouteille d’eau qui était à ma disposition. Je me dirige donc vers le local attenant à la maison pour aller la remplir à nouveau au robinet. Je passe devant une fenêtre et quelque chose, un mouvement, arrête mon regard. Je reviens quelques pas en arrière et jette un œil à travers les carreaux. Ce que je peux voir à ce moment là m’interpelle et me fige sur place.
    
    Dans le salon, sur un fauteuil profond, j’aperçois la femme du patron. Un livre dans une ...
    ... main, l’autre plantée entre les cuisses, elle a relevé sa jupe et je vois distinctement toute la longueur de ses interminables jambes bronzées. Je colle mon visage à la vitre et écarquille les yeux. Je ne vais pas me priver du spectacle et du petit bonus imprévu qu’il me permet d’obtenir.
    
    La belle blonde a posé ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil et elle écarte maintenant largement les cuisses. Toujours occupée à lire, elle se caresse délicatement la chatte. Ses longs doigts effilés jouent à travers la courte toison de son sexe. Je suis un peu loin pour voir tous les détails de son activité, mais j’imagine sans peine le ballet de ses phalanges sur son minou. De temps en temps, elle renverse un peu la tête en arrière sur le dossier du meuble et se laisse aller au plaisir que lui procurent ses caresses manuelles.
    
    La voilà qui relève le visage. Je vois son expression changer et elle tourne la tête vers moi. Je suis démasqué, sans doute trahi par le miroir situé face à la fenêtre. Je n’ai pas le temps de m’éclipser car, déjà, elle me fait un petit signe encourageant et explicite : je suis invité à entrer dans la pièce. J’ai chaud, toujours plus chaud, mais je ne peux décemment refuser cette invitation. Et, d’ailleurs, pourquoi le ferais-je ? Je me dirige donc vers la porte d’entrée de la maison, le cœur battant.
    
    Sitôt passé le seuil du salon, Nicole m’accueille, chaleureuse et nullement fâchée. Elle a posé son livre sur son ventre mais n’a pas changé de position sur ...
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