1. Excelsior


    Datte: 16/12/2021, Catégories: ff, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, piquepince, nostalgie, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... de tension, suivant le trajet des nerfs, malaxant les muscles, jouant des jointures sur les intervalles des vertèbres. Les soupirs d’aise de sa patiente la comblent.
    
    — Ça te fait du bien ?
    — Hummmmmoui…
    — C’est agréable aussi pour moi… Tes cuisses sous les miennes… c’est doux, c’est chaud.
    — Hmmm, hmmm… acquiesce Chantal, toute relâchée.
    
    Colette continue son massage en silence. Elle sent Chantal se détendre de plus en plus. Elle aimerait la connaître mieux. Peut-être est-ce un moment favorable aux confidences.
    
    — Ça ne t’ennuie pas si je te pose des questions ?
    — Meuh… non, marmonne Chantal. Mais ne t’arrête pas. Des questions sur quoi ?
    — Tu m’as dit que tes filles avaient vingt ans et dix-huit ans, c’est bien ça ?
    — Oui, à peu près. Brigitte a un peu plus de vingt.
    — Tu les as eues jeune.
    — Mariée jeune… trop.
    — Trop jeune, tu veux dire ?
    — Oui. Je n’avais pas vingt ans… j’étais presque une oie blanche, en plus.
    — Ah !
    
    Colette se tait un instant avant d’oser poursuivre.
    
    — Tu as divorcé, ou… ?
    — Divorcé, oui.
    — Tu étais mariée depuis longtemps ? Excuse-moi si je suis trop indiscrète.
    — Non, ce n’est pas un secret. Un peu plus de cinq ans. Sandra était encore bébé.
    — Ah, oui… Ce n’a pas été trop dur ?
    — Il y a eu des moments difficiles… Mais ça c’est bien passé. J’étais libre, surtout ! Et puis, j’ai été bien aidée par des copines, des amies…
    
    Ou des amantes, pense Colette sans le dire.
    
    — Dis, ajoute Chantal après quelques secondes, pour ...
    ... le dos, c’est bon. Si on passait au côté face ?
    
    Elle esquisse le mouvement et Colette se soulève sur les genoux pour lui permettre de se retourner entre ses cuisses.
    
    — Tu as des mains de fée, remercie Chantal en s’étirant paresseusement. Tu veux bien me masser les seins et les jambes ?
    — Bien Madame. Que les seins et les jambes, et juste les masser… plaisante Colette.
    — Massez partout où et comme vous croyez devoir faire, Mademoiselle…
    
    Chantal a souri en murmurant sa réponse. Colette se réinstalle à cheval sur ses cuisses, cette fois plus près des hanches. Leurs poils pubiens s’entremêlent quand elle se penche pour prendre un sein entre ses mains.
    
    — J’aime bien tes seins. Ils sont ronds, doux, souples, moelleux…
    — Oui, oui. Dis plutôt lourds et avachis.
    — Arrête de toujours te dévaloriser ! Je les aime comme ils sont, je t’aime comme tu es, avec tes fesses rebondies, ton ventre arrondi, tes aréoles grumeleuses, tes tétons épais… Tu as dû allaiter tes filles, non ?
    — Oui, mais c’est aussi parce que j’aime les pincer et les étirer.
    — Ah bon ! Comme ça ?
    
    Colette s’amuse à reproduire le geste en prenant les pointes entre pouces et index.
    
    — Tu peux tirer plus fort… oui… Je les vrille, aussi.
    
    Colette s’enhardit. Elle raffermit sa prise, pince en tournant, observe le visage qui s’éclaire, étire encore les tétons. Les mamelons se muent en pyramides, les globes s’allongent. Chantal soupire, sa bouche se crispe, mais elle ne se plaint pas. Colette ose vriller ...
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