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Le manoir du péché (16)
Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
... tête vers moi, m’interrogeant du regard. - Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur. Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position. De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre La patronne m’avait fait savoir qu’elle désirait que je vienne jusqu’à sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit. - Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant l’intervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. J‘avais alors vu sur une belle culotte blanche. Y’avait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, j’étais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir qu’elle venait y passer le week-end. Sachant qu’à tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi. - Fermez la porte s’il vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle. Ceci fait, elle me priait d’approcher jusqu‘à elle. - J’espère que vous n’aviez rien de prévu pour cette nuit, Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres. - Non madame. - Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon ...
... peau de chambre, voulez-vous. - Avec plaisir madame… Augurant parfaitement ce qu’elle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors qu’elle avait quitté le lit. Mais alors que je m’apprêtais à m’éloigner, elle m’ordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper l’élastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. D’un gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, qu‘elle garda dans sa main. - Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en s’accroupissant au-dessus du pot de chambre. Le spectacle était d’une saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard s’attarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé. Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à l’instant où quelques gouttes s’échappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient. - Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager. - Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle. - Vous m’en voyez alors ravie, mon cher. ...