Simon, d'Ange à Démon. (10) - Histoires de Sexe

Simon, d'Ange à Démon. (10)

... lève et s’approche, arrivée auprès de lui, elle s’agenouille sur le dallage de la terrasse et prend le chibre de son fils en main. Il sursaute et soupire. Dans un lent mouvement de va-et-vient, elle masturbe l’engin long et fin qui palpite sous ses doigts ; elle l’embouche, suce le gland, le mordille puis le mord. Simon ondule, serre les poings, se tend comme un arc et se relâche dès qu’elle desserre les dents. Quand elle lui empoigne les couilles et les malaxe en les pressant comme des citrons et en lui pinçant violemment les tétons. Son masochiste de fils se tortille encore plus, il geint de plaisir, ce plaisir encore inconnu qui est en train de lui apporter la jouissance dans la douleur ; lui qui après une raclée au martinet allait se branler dans sa chambre ou dans les chiottes. Huguette sent entre ses doigts les couilles toutes lisses se gonfler elle sait que c’est pour bientôt, alors elle masturbe le gland entre ses lèvres jusqu’au moment où la tension dans les couilles de Simon devient extrême ; il éjacule à grands jets. La bouche d’Huguette se remplie, elle lui presse encore plus fort les testicules ; comme la poire à lavement qu’elle utilisait pour déconstiper son gamin petit. Elle n’y tient plus, il lui faut un truc dans sa chatte en feu : ses doigts, elle en met deux, trois, puis quatre qu’elle agite avec frénésie. À chaque pression, elle reçoit une giclée de ce jus blanc et visqueux, celui qu’elle aimait tant avant ; du temps d’avant le mariage. Ce temps presque ...

... oublié, celui de sa jeunesse et de ses folles surprises-parties auxquelles elle participait en secret avec ses amis de FAC qu’elle quitta rapidement. À cette époque-là elle n’avait que dix-huit ans et encore mineurs aux yeux de la loi, elle était folle, folle de sexe et pleine de vie, ses copains l’avaient surnommé : «Huguette, la fille à Quéquette » tellement elle aimait sucer les garçons mais aussi les filles.

Et la voilà maintenant avec la bouche remplie du sperme de son gamin, et ses doigts trempés de cyprine. Elle quitte le sexe gluant, Simon ouvre les yeux et la regarde, l’air hagard. Elle prend sa bouteille d’eau, boit et avale tout, l’eau et le sperme ; c’est comme cela qu’elle faisait avant, et elle d’éclater de rire en voyant ses potes avec le même regard que son fils a en ce moment.

— Alors, c’était bien ? lui demande-t-elle.

— Oh oui, Maman…

— Alors branle-toi, maintenant ; tu as dit à ton père qu’il t’avait rendu maso, alors astique-toi la bite pendant que je te torture le téton.

— Mais Maman je ne te connaissais pas comme ça ? Que se passe-t-il

— Tu apprendras qu’avant de rencontrer ton père, j’étais du genre à sauter sur tout ce qui bougeait. Il y a aussi ce maudit bouquin qui m’a mis le feu ; allez… Branle-toi maintenant, je veux que tu éjacules encore une fois !

Pour son plus grand plaisir, son garçon s’exécute en attrapant son phallus bandé qu’il empoigne avec force, il l’astique violemment mettant à nu son gland violacé par le gonflement ...