1. L'auberge espagnole


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... parfaitement cylindrique et ce gland décalotté pareil à une fraise gourmande. J’avance la bouche vers ce gros bâton d’amour. Juan avance encore un peu pour me faciliter cette nouvelle découverte. J’aime goûter sa bite, l’embrasser, la lécher, sentir son gland contre mon palais et son frein sous ma langue. Je m’étonne de la prendre aussi facilement entre mes lèvres. Je fais quelques allers-retours avant qu’il ne me repousse pour me relever.
    
    — Allonge-toi sur le lit.
    
    Ils me déshabillent lentement, profitant pour caresser, palper, embrasser chaque partie de mon corps. Mes seins sont libérés, mes tétons se dressent fièrement vers mes deux amants. Enzo, fasciné par mes seins, les prend en bouche. Sa langue semble froide tant j’ai chaud ; il mordille mes seins. Les mains douces de Juan me retirent mon string.
    
    — Tu es vraiment très excitée, on dirait : ta chatte est toute trempée ! J’adore les chattes toutes lisses.
    
    Ça m’excite, j’aime quand on me parle. Je suis aussi mentale que physique, et ces paroles m’échauffent.
    
    Il glisse un doigt entre mes lèvres ; mon corps réagit en ayant un sursaut. Puis il le retire pour mieux le replonger en appuyant au passage sur mon clitoris.
    
    Entre mes seins qui se font malmener et les doigts farfouilleurs, je sens qu’un orgasme est prêt à se déclencher. Tout à coup, une vague me submerge. Mon ventre se contracte, mon corps se tend et se recouvre de spasmes pendant que je jouis en gémissant et en haletant.
    
    Juan s’arrête net, ...
    ... alors qu’Enzo continue de caresser mes seins ; il profite de ce que Juan a retiré ses doigts pour me pénétrer à son tour. Je gémis de plus en plus fort alors qu’il joue avec mon sexe de ses doigts agiles.
    
    Je demande une pause ; j’ai besoin de reprendre mes esprits et boire de l’eau fraîche.
    
    — Ça va ? s’inquiète Juan.
    — Oui, vraiment bien. J’ai joui très fort ; alors, habitue-toi ! lui réponds-je en riant.
    — Ce n’est pas bien de se moquer de moi… me dit-il, les yeux noirs.
    
    Il me fait presque peur, mais c’est l’excitation qui prend le dessus. Que va-t-il faire ? Me prendre comme une chienne ? Me violenter ?
    
    Il se jette sur moi, m’écarte les jambes avec violence et force. Il me regarde dans les yeux.
    
    — On va te faire jouir jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
    
    Juan se baisse vers ma chatte, un sourire gourmand sur les lèvres, puis son visage se perd entre mes cuisses. Et me voilà ainsi repartie vers des sommets de jouissance. Sa langue est habile et appuie sur mes zones sensibles ; il mord gentiment mon clito et le lèche. Un truc dingue. Un peu comme ces manèges dans les parcs d’attractions. Comme dans un Grand Huit, les sensations sont si fortes qu’on hésite entre l’envie que ça continue et celle que ça s’arrête. Cette alternance de phases où la conscience est au paroxysme et celles où l’inconscience est toute proche.
    
    Je ferme mes yeux pour mieux profiter du travail de cette langue qui fouille mon sexe et excite son clitoris. Enzo se met à genoux sur le lit et ...
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