Ébats d'une femme enceinte (1)
Datte: 14/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
... tantinet séduisant. Il se dégageait de lui une réelle attraction, un obscur mystère. Je dus le regarder avec un peu trop d’insistance, perdue dans cette admiration, ou peut-être dans ses fantasmes enfouis, car il vint glisser ma main devant mes yeux, dans de petits mouvements. Je clignai des yeux. Plusieurs fois. M’ancrant à nouveau dans cet après-midi, au coin de la supérette.
— Puis-je vous aider et porter vos courses jusqu’à chez vous ?
Il avait un petit accent d’ailleurs, le laissant prononcer certaines syllabes avec plus de profondeur. Ses mots se détachaient, me percutaient. Je sentis mon sexe devenir moite, la pointe de mes seins durcir. Je regardai bêtement mon sachet de pain.
— Je n’ai qu’un pain, dis-je, un peu prise sur le vif, lui tendant tout de même le sachet en papier brun.
J’avançais, cet inconnu séduisant à mes côtés. Nous n’échangeâmes pas un mot. Pourtant, au fil de nos pas, une ambiance des plus chaudes, des plus enivrantes nous enveloppait de ses caresses torrides. Nous savions tous les deux le dénouement de cette balade. La simple moiteur des premiers pas avait rendu mes cuisses collantes à l’entrée de mon chez-moi. J’ouvris et rentrai, me tournant vers lui. Il me tendit le sachet, je le pris par le haut. La porte se referma derrière nous alors que son haut tombait sur le carrelage de l’entrée. Ses lèvres se scellèrent aux miennes dans des baisers toujours plus passionnés. Déchaussée, je me glissai jusqu’au salon, faisant virevolter ma petite ...
... robe, laissant lui apercevoir la blancheur de mes fesses.
Je me sentais désirée. Il s’approcha de moi. Je fis tomber les bretelles de la robe et tirai dessus, lui offrant ma poitrine. Je sentis sa main glisser sous ma robe, harponner mes fesses alors que sa bouche vint dévorer mes seins devenus encore plus sensibles lors de cette grossesse. Je sentais la fermeté de sa paume, la sauvagerie de ses lèvres, de sa langue, de ses dents. Je le repoussai et fis tomber l’unique rempart à ma nudité. Je passai une main habile sur le devant de son jeans. Dur. Avant d’enlever sa ceinture. Je me mis à genoux alors qu’il déboutonna son pantalon et me fit découvrir son sexe, bandé sous le désir que je lui avais provoqué. Je commençai à le branler, approchant ma bouche avant de happer son gland. Je pris la base de son membre avec fermeté alors que mes lèvres se faisaient plus hésitantes sur sa pointe. Mais rapidement, le sentant toujours plus dur, je me montrai plus assurée et affamée dans mes mouvements.
Mes bruits de succion accompagnaient ses petits soupirs plaintifs. Je n’avais jamais particulièrement aimé prodiguer des fellations. Sans plus. À cet instant précis, le verbe « aimer » n’était – sans doute – pas assez fort pour décrire l’envie que je ressentais.
Je me relevai et il me poussa dans le canapé. Gentiment, mais avec, tout de même, une certaine détermination dans son geste. Il se mit, à son tour, à genoux, se glissant entre mes cuisses écartées. Il sourit en découvrant à ...