Ébats d'une femme enceinte (1)
Datte: 14/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
Il est fou comme certains regards peuvent se tourner vers nous lorsqu’on a le ventre rond et qu’on attend un futur petit bout de chou. Le regard de mères compatissantes ou de pères nostalgiques, celui de jeunes femmes envieuses. Mais ce que à quoi je ne m’attendais pas, c’était le regard lubrique d’hommes, aussi bien jeunes que moins jeunes. Ces regards s’étaient manifestés dès que mes seins grossis avaient commencé à déformer le décolleté de mes hauts et que la courbe de mon ventre s’arrondissait. Plus les semaines passaient et plus le côté lubrique de ces regards me surprenait. Je pourrais vous dire que cela me choquait. Bien au contraire. J’étais excitée d’attirer ces regards et ces fantasmes. Je sentais leurs yeux perçants me déshabiller dans la rue, alors que je mettais des tenues valorisant mon état. En rentrant, je m’empressais de me déshabiller, me glissant dans les couvertures de mon lit, plongeant une main entre mes cuisses.
Certaines avaient envie de fraises, j’avais envie de sexe.
Sur le plan sexuel, je dirais que je n’ai pas été la plus active. J’avais vingt-huit ans. Quelques coups plus ou moins foireux étant adolescente, d’autres, plus affermis lors de soirées, et un petit-ami, ex-copain, charmeur. Je ne me masturbais que rarement avant. Après les premiers mois de grossesse, je découvris – réellement – le plaisir de se masturber. Se sentir maîtresse de sa propre jouissance, découvrir la passion que mes doigts pouvaient me donner ou même apprécier la ...
... douceur d’une pénétration d’un – ou plusieurs – doigts. Nourrissant ces envies de mes souvenirs et de mon imaginaire, je dus vite me résoudre à consulter des sites pornos. La pornographie amateur s’était démocratisée et pendant de longues semaines, ces couples s’ébattant sur l’écran m’excitèrent et m’accompagnèrent jusque dans les tréfonds de mon intimité.
Mais rapidement, les doigts devinrent de bien ennuyeux amants. Il me fallait une virilité, une certaine brusquerie que je ne pourrais pas contrôler. Je pense que j’avais mis une robe ce jour-là. De par la taille de mon ventre et de celle de la robe, il devait s’avérer qu’elle m’arrivait à mi-cuisses. Je devais aller faire quelques courses à la supérette du quartier. Je me regardai dans le miroir. Une folie me prit. J’enlevai ma culotte et sortis de chez moi. La fraicheur me fit frissonner, la brise ne fit qu’accentuer l’excitation que je ressentais à ce moment. J’avais déambulé dans le magasin. Il n’y avait pas beaucoup de personnes. Je surpris le regard d’un retraité sur mes cuisses découvertes. Taquine, je glissai un peu plus le pan de la robe, lui offrant bien plus que la moitié de ma cuisse. Cela me rendit encore plus excitée. Je pris un pain, la raison de ma sortie et allai à la caisse, sortant ma petite monnaie pour payer la caissière.
Sortie, je me fis interpeller. Il devait avoir trente ans bien tassés. Une fine barbe de trois jours lui mangeait les joues. Il avait une tête de plus que moi. Un métropolitain, un ...