1. Tombés du ciel (37)


    Datte: 13/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... proposition.
    
    — Tu as raison, maman. Mettons-le en contexte.
    
    — Euh, non, mais... Vous voulez faire quoi, là ?
    
    Plantées devant lui, Bérénice et Alicia le regardèrent droit dans les yeux. Ugo était visiblement partagé entre un certain malaise et l’envie de se laisser faire. Elles se demandèrent s’il ne les trouvait pas un peu à son goût, surtout Alicia qui était plus dans ses âges.
    
    — Vous êtes deux très belles femmes... Mais, vous allez vous marier toutes les deux.
    
    Qu’il dise qu’elle était une belle femme plut beaucoup à Bérénice qui posa sa main sur la poitrine du jeune homme, elle sentit son cœur battre plus vite, son souffle s’accélérer.
    
    — On leur expliquera. On leur dira qu’on a voulu te venir en aide. Mais que les choses soient claires dès maintenant.
    
    Bérénice toisa par en-dessous Ugo et l’avertit d’un ton sentencieux :
    
    — On t’aide toi, je pense que tu le mérites. Mais ce que tu as fait à Vic est impardonnable. On ne lui a pas dit que c’était toi qui avait donné l’alerte. On ne lui dira pas ce qu’il t’arrive. Vic est trop fragile désormais, tu es trop fragile aussi. Vous ne pouvez pas vous remettre ensemble. De toute façon je pense qu’elle ne te pardonnera jamais.
    
    — Je sais, je ne me le pardonne pas non plus. Alors, pourquoi ?
    
    — Pour ta prochaine compagne. Pour toi et ta mère, lui dit Alicia qui s’était collé à lui.
    
    A deux, elles se mirent à le caresser longuement. Elles s’arrêtèrent et attendirent sa réaction, son accord ou son désaccord. ...
    ... Il fallait bien mettre en pratique ce qu’elles lui avaient dit et répété juste avant.
    
    — Alors ? Tu veux le faire, ou pas ?
    
    — Alicia... Je... D’accord.
    
    Il posa ses mains sur les culs des deux femmes et commença à les pétrir. Il se montra relativement maladroit mais elles ronronnèrent de satisfaction et Ugo en fut surpris. Cela eut pour effet de l’enhardir quelque peu et ses gestes devinrent plus efficaces. Il ne pipait mot et ce n’était pas le but recherché par Bérénice et Alicia. Cette derrière se montra plus câline, elle susurra alors :
    
    — Mmmh, c’est bien. Mais on est là pour se lâcher. Ne te mets aucune barrière dans tes mots ou tes grognements ou ce que tu veux.
    
    — Oui, Alicia a raison. Vas-y, jeune homme. On va poser les limites : tu peux être dur avec tes mots mais doux avec tes gestes.
    
    — Ce sera un bon exercice pour toi...
    
    Elles se serrèrent contre Ugo et posèrent leurs lèvres dans son cou, s’il ne se penchait pas elles ne pouvaient de toute façon aller plus haut. Ugo soupira longuement et ses mains remontèrent le long des côtes des deux femmes. Elles arrivèrent sur les seins de Bérénice et d’Alicia qui furent ravies de sa prise d’initiative. La femme aux cheveux gris se dit bien que c’était une erreur, qu’elle aurait pu attendre le soir et retrouver son homme. Mais celui qui lui pelotait les seins avait quelque chose de magnétique auquel il était difficile d’échapper, même si son côté maladroit le laissait encore loin de son compagnon. Et puis elle ...
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