1. Il Professore


    Datte: 12/12/2021, Catégories: fh, hplusag, alliance, profélève, handicap, campagne, amour, fsoumise, Oral pénétratio, hdanus, portrait, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... dit-elle, ce serait bien de partir un week-end tous les deux, non ?
    — Oui, mais… Ugo ?
    
    Je vais lui expliquer que vous m’emmenez voir mes parents. Comme ils habitent à plus de cent kilomètres, il ne peut pas m’y emmener en Piaggio.
    
    — Et où veux-tu aller ?
    — Où vous voulez, du moment que je suis avec vous…
    
    Il l’emmena à Aoste et lui fit visiter les ruines romaines, le théâtre, les fortifications, le marché souterrain. Comme il faisait excessivement chaud, ils prirent la route en lacets vers Pila, la station de ski dominant Aoste. La petite Barchetta ronronnait à merveille, agile et rapide malgré la pente. La jeune femme, cheveux au vent, vêtue d’une simple robe d’été blanche à petites fleurs, sans aucun dessous, se laissait trousser jusqu’à la toison par les remous d’air. Elle avait minci depuis qu’elle jardinait et qu’elle faisait l’amour quatre à cinq fois par jour, et se sentait une autre femme. Ils déjeunèrent en terrasse, admirant la vue extraordinaire sur tout l’arc alpin. Il l’emmena ensuite dans un village de montagne, là où la route s’arrête. Il faisait bon à Cogne, en altitude, encadré par le Gran Paradiso et le Monte Bianco. Ils y prirent une chambre et dînèrent, toujours en terrasse, de spécialités Valdôtaines5 accompagnées d’un délicieux Torrette, vin rouge également local.
    
    — Je ne me suis jamais sentie aussi bien, de toute ma vie, confia Paolina. Vous pourrez vous vanter d’avoir rendu une femme merveilleusement heureuse. Je goûte chaque instant ...
    ... avec délectation et émerveillement. Dire qu’il y a quelque temps j’étais au fond du trou, pensant au suicide…
    — C’est vrai ? Tu pensais cela ?
    — Oui, je ne voyais pas d’issue. Je n’ai rien, ni argent, ni travail, ma famille est trop loin et n’a pas le temps de s’inquiéter de moi. Comme j’ai bien fait de m’en remettre à vous. Sachez-le, je suis à vous, toute à vous, totalement à vous, pour toujours…
    
    Les yeux de la jeune femme flamboyaient quand elle disait cela, et ce n’était pas seulement dû aux reflets du photophore qui éclairait leur table ni aux effets de l’alcool. Elle l’aimait passionnément et il la trouvait belle ainsi. Ils firent une promenade digestive, bien nécessaire après la charcuterie locale, le rôti de cerf et la polenta, dans les ruelles escarpées de la vieille ville. Accrochée à son bras, curieuse de tout, elle le lâchait parfois pour trotter jusqu’à l’une des nombreuses fontaines d’eau glacée où elle buvait dans le creux de sa main potelée et éclaboussait son amant en riant. Elle dansait sous les réverbères, tournant rapidement sur elle-même pour faire voler haut le bas de sa robe, dévoilant ses cuisses et ses fesses charnues, et même sa toison en une fraîche provocation. Alors il l’attirait dans un coin sombre, l’embrassait à pleine bouche en lui pétrissant un sein, plongeant l’autre main sous la fine cotonnade pour fouiller sa chatte humide. Puis il suçait sur ses doigts le nectar parfumé de sa maîtresse, qu’il n’aurait pas soupçonnée aussi vivante, ...