1. Il Professore


    Datte: 12/12/2021, Catégories: fh, hplusag, alliance, profélève, handicap, campagne, amour, fsoumise, Oral pénétratio, hdanus, portrait, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... retrouver quelques collègues pour aller voir jouer la Juve3 ou prenait parfois le bus avec eux pour aller siffler le R.C. Milan. Autant dire qu’il dormait également tout le dimanche ou presque. Bref, sa vie était ailleurs depuis le décès de sa mère. Il évitait son père le plus possible, car Giancarlo n’avait jamais su s’y prendre avec cet enfant attardé. Il n’avait ni la patience ni la manière, et pour lui, le papa signifiait remontrances et punitions. Paolina lui assurait l’essentiel vital, l’entretien de la maison et la table, ça lui suffisait, d’autant qu’elle était douce et gentille avec lui comme la« mamma ». Il n’y avait qu’au travail qu’il se sentait « important », ne se rendant même pas compte qu’on lui refilait les tâches les plus ingrates, les horaires les plus pénibles. Il imaginait simplement que sans lui, aucune voiture ne serait sortie de l’immense usine. Dans cette vie réglée, Ugo se sentait en sécurité, il ne fallait surtout rien y changer.
    
    En conséquence, tout était permis dans la grande maison de la colline. La première chose que Giancarlo demanda à Paolina, ce fut de faire son ménage dans le plus simple appareil. Il adorait la mater, évoluant nue, ses gros seins s’agitant au rythme de ses mouvements, son postérieur saillant lorsqu’elle se baissait. Ça l’excitait et il pouvait l’interrompre à tout moment pour la peloter ou lui passer la main dans la raie, vérifiant qu’elle aussi était excitée par cette situation. Et pour l’être, elle l’était. Jamais ...
    ... elle n’avait autant mouillé, ruisselant presque en permanence, espérant l’acte inattendu de son mentor qui se terminait généralement par un coït furieux qui lui allumait des étoiles dans les yeux.
    
    Quand il sortait en ville ou allait au travail, elle attendait fébrilement son retour, le débarrassait de son chapeau, de sa veste et de son porte-documents, et invariablement, il lui fouillait la bouche par un long baiser, tripotant ses seins et sa vulve en libre accès. Alors elle tombait à genoux, libérait son sexe et se lançait dans une sorte de prière érotique, câlinant la source de son plaisir des doigts et de la bouche. Puis elle se retournait, posait la joue sur le tapis et écartait ses fesses pulpeuses des deux mains, ouvrant largement ses orifices qu’elle offrait sans condition à son seigneur et maître. Giancarlo, dans cette situation, se sentait grand, immense. Il n’était plus« il professore », mais un empereur romain, Jupiter sur son Olympe, son esclave à ses pieds implorant une grâce qu’il octroierait selon son bon vouloir. Son ego gonflait autant que sa queue, tout lui était permis. Au point que, les nuits les plus chaudes de l’été, il faisait sortir son esclave sexuelle nue et la prenait interminablement à même la pelouse, sous la lune et les étoiles.
    
    Il tint cependant parole, et un mécanicien vint restaurer la « Barchetta4 », sa petite décapotable rouge. Quand elle fut révisée, il proposa à Paolina de l’emmener faire un tour.
    
    — Pour en profiter vraiment, lui ...
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