Madame Jade et aline, soumise mâle laineuse. (5)
Datte: 11/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: aline soumise mâle, Source: Xstory
... demandez pas d’explication, car il n’y en a pas. J’aime ces douleurs qu’Elle m’impose, car Elle le fait pour nous deux, tout simplement.
Une fois parée de tous ces ornements, Madame m’a fait mettre à quatre pattes et j’ai alors ressenti une douleur plus vive dans ma poitrine quand les mousquetons fixés à la chaînette ont joué leur rôle de balancier. Une douleur inattendue, mais si savoureuse dont Elle a le secret. Elle savait que ce changement de position me ferait grimacer et même gémir. Elle s’en délectait et mon plaisir de La combler s’en voyait décuplé. J’en oubliais jusqu’au supplice qu’Elle avait anticipé. Comment ne pas L’aimer quand je devine, quand je comprends combien Elle sait mes attentes qui sont aussi les Siennes... Celles de souffrir pour et par Elle.
Alors qu’Elle avait remonté mon pull sur mes épaules et que le grand col enveloppait à présent mon visage, Madame a commencé à me marquer en jouant d’une longue cravache. Elle a d’abord visé le haut de mon dos, alternant les coups de gauche à droite, puis Elle s’est attachée à zébrer mes fesses, s’inquiétant auparavant de savoir si j’avais prévu d’aller à la plage, ce à quoi j’ai répondu par la négative. De toute manière, je serais fière de montrer Ses marques si Elle me le demandait. Elle est Ma Maîtresse. Madame a longuement joué de Sa cravache, tapotant sur les pinces appliquées sur mon sexe comme sur celles de ma poitrine. Tandis que les coups sur mon derrière offert se voulaient plus appuyés, plus ...
... précis, plus cinglants, une pince s’est décrochée de mon téton gauche et je n’ai su faire autrement que pousser un petit cri qu’Elle a de suite interprété puisqu’Elle a retiré l’autre pince dans la foulée.
Ce tourment partagé pour notre plus grand plaisir ne s’en est pas tenu là, car Elle m’a aussi marquée avec un autre ustensile de punition que je ne saurais définir, ne voyant pas à quoi il ressemblait... mais peu importe, car il était manié avec une dextérité évidente. Madame m’avait alors fait me relever et, voyant et entendant que je gémissais sous Ses coups, elle avait ordonné de me taire, ce que j’ai fait. Comment ne pas Lui obéir ? Elle est Mon Évidence et il faudrait une pluie de coups donnés violemment et sans retenue pour que je ne puisse appliquer Ses directives, pour que je finisse par implorer Sa pitié. Cela arrivera peut-être un jour si je La déçois d’une manière ou d’une autre alors que je fais tout pour La satisfaire.
Quand Madame a estimé que j’étais suffisamment marquée, rougie, zébrée, Elle a retiré les pinces encore accrochées à mon intimité, prenant plaisir à me voir grimacer sans pourtant gémir puisque telle était Sa consigne. Elle s’est alors saisie de la roulette de Wartenberg que je Lui ai offerte pour la faire aller et venir, en premier lieu, sur mon sexe encore endolori par la morsure des pinces. Je n’ai pu m’empêcher de pousser des cris que j’essayais de contenir, cris qu’Elle m’a demandé d’arrêter tandis qu’une érection que je ne pouvais cacher ...