Madame Jade et aline, soumise mâle laineuse. (5)
Datte: 11/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: aline soumise mâle, Source: Xstory
En ce premier jour de semaine, Madame m’a demandé de venir dans Sa commune pour L’aider à récupérer certaines de Ses affaires entreposées dans la maison d’une amie.
Une fois chez Elle, nous avons rangé croix, chaînes, harnais et autres éléments avant de nous poser pour nous désaltérer. Loin d’y voir une surprise, mais plus une attention toute particulière de Sa part, Madame a rempli une gamelle métallique d’eau fraîche qu’Elle a posée par terre pour que je puisse étancher ma soif. Je me suis mise à quatre pattes et, tandis qu’Elle buvait tranquillement installée dans Son canapé, j’ai lapé cette eau bienfaitrice avec un indiscutable plaisir. Rien n’est plus agréable à mes yeux d’apprécier Sa façon de faire avec moi. Elle me comprend si bien.
Il était temps pour moi, selon Ses directives, de quitter ma tenue civile pour enfiler l’unique pull qu’Elle m’avait demandé d’apporter. Elle sait que ce lainage a une signification bien précise à mes yeux puisque je l’ai présenté comme étant le pull spécial ’’vidange’’, lequel avait servi alors que j’étais, en d’autres temps, sous les ordres d’autres Maîtresses. Elle préfère le terme ’’purge’’ à celui de ’’vidange’’ et, je dois le reconnaître, ce mot est finalement plus approprié. Je m’attendais donc à devoir, à un moment ou à un autre, m’acquitter de manière active ou passive de ma purge hebdomadaire.
Une fois vêtue de ce seul gros et ample pull à col roulé en mohair violet dont la laine pique délicieusement, Madame a exigé que ...
... je me positionne face à Elle. Elle m’a demandé de le relever pour rendre mon pénis visible puis s’est amusée à y fixer une dizaine de pinces dont deux étaient reliées par une chaînette. Certaines d’entre elles se voulaient plus mordantes, mais c’était un plaisir indiscutable de les subir pour Elle. D’ailleurs, à l’heure où j’écris ces mots, je me demande quelles douleurs je pourrais ne pas endurer pour Ma Maîtresse. Cependant, une des pinces posées sur mon intimité se voulant rebelle, glissant jusqu’à devenir insupportable, car ne pinçant plus qu’une infime partie de peau, je l’ai signalée à Ma Maîtresse qui l’a aussitôt positionnée autrement afin que la douleur occasionnée soit mieux maîtrisée. Je ne peux le nier, même bien mises en place, ces dix pinces se voulaient un réel tourment.
Madame a ensuite placé Ses pinces préférées sur mes tétons, celles pourvues d’une chaînette sur laquelle Elle a accroché cinq lourds mousquetons. Pour en arriver là, Elle a préalablement roulé mon pull depuis la base, de manière à ce que je prenne entre mes mâchoires ce ’’boudin’’ de mohair dans lequel j’ai mordu, exigeant également que je mette mes mains sur la nuque. Si mes tétons se voyaient ainsi sollicités par le poids imposé, je me dois de reconnaître que j’en aurais accepté encore plus et, pour tout dire, les deux poids qu’Elle a ajoutés aux pinces ont bien sûr accentué la douleur, mais j’aurais pu aller plus loin, non pas parce que c’était agréable, mais parce que c’est Elle. Ne me ...