1. Mon Nouvel Oncle (7)


    Datte: 10/12/2021, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... pouvaient attendre, mais son sexe, non... !!! Il m’a penché sur le capot encore chaud de la voiture, m’a pénétré violemment, collant son corps au mien, écartant mes jambes avec ses pieds pour que je m’offre encore plus profondément à lui. En même temps que je pensais avoir bien fait de prendre mes précautions avant son arrivée, je me disais aussi, que si c’était quand même assez contraignant, c’était très agréable d’avoir un véritable obsédé sexuel comme amant. Je savais que son plaisir extrême était de déverser toute sa jouissance au fond de moi, mais là, je ne l’ai pas laissé faire. Dès que je l’ai senti arriver, je me suis désemboîté de lui, et je l’ai pris en bouche. J’avais trop envie de savourer son nectar, si parfumé, suave et épicé à la fois.
    
    J’ai tout dégusté, me délectant de chacun de ses jets, que je ne parvenais pas à compter, ses mains appuyant fortement sur ma tête.
    
    — Je t‘aime.
    
    — Et bien moi, je t’aime pas... Je t’adore, je te vénère.
    
    Mes mots sonnaient à son oreille comme une musique enchantée, et sa vigueur étant restée la même, il m’a repris avec tout autant de violence, mais aussi de sensualité, son sceptre coulissait en moi avec autant de force, ses mains et ses lèvres me couvraient de caresses et de baisers. Tout propre grâce à ma bouche, il a remis son bermuda et s’est approché de la table...
    
    — J’ai faim.
    
    — Tu es bien un homme toi... !!!
    
    — Oui pourquoi ?
    
    — Comme une casserole, on le tient par le manche et on lui remplit le ...
    ... ventre...
    
    — J’adore cette image...
    
    — En plus, tu es comme le café... !!!
    
    — Ah oui ?
    
    — Oui... Bien noir, très fort et qui m’empêche de dormir toute la nuit.
    
    Nous avons installé la table sur la terrasse, il ne faisait pas encore vraiment froid, mais nous supportions les pulls quand même. Il a été quand même surpris de constater comment j’avais joliment accompagné les restes de notre déjeuner, puis il est allé chercher la boîte de gâteaux de Mamie. Je n’avais plus vraiment très faim, mais c’était tellement beau et appétissant, que je me suis engouffré les deux. Nous n’avions pas abordé le sujet de la conversation qu’il avait eu avec sa mère, je préférais lui en laisser l’initiative, en restant collé dans ses bras.
    
    — Maman serait trop contente de te voir te régaler comme ça... !!!
    
    — Chéri, si j’ai adoré les gâteaux, ses broderies m’ont encore bien plus touché.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Parce qu’en une journée, elle a découvert mes plaisirs, mes passions, ce que j’aimais, mais c’est ce qui me fait le plus peur, celui que j’aimais.
    
    — Rassure-toi, si j’ai mis du temps à rentrer, c’est pas pour rien.
    
    Sans trop rentrer dans les détails, il m’a raconté la conversation qu’il avait eue avec sa mère. Tout d’abord, la joie extrême qu’elle avait ressentie de me voir hors tout contexte difficile, de constater aussi la forte tendresse qui nous unissait, Claude et moi, jusqu’à ce qu’elle comprenne très vite, que c’était beaucoup, beaucoup plus que de la tendresse. Elle nous a ...