1. Mon premier séminaire d'entreprise


    Datte: 10/12/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Cliteros, Source: Hds

    ... Je lui sautai alors littéralement dessus après m’être débarrassé en hâte de mes vêtements, lui dévorant ses lèvres, et m’empalant sur son membre. Nous avons ainsi fait l’amour plusieurs fois cette nuit-là.
    
    Le lendemain, la matinée et le midi se passèrent normalement, mais lors d'une présentation que nous avions dans le parc du château l’après-midi, je sentis soudain quelqu’un embrasser mes chevilles, puis mes jambes nues. Je ne pouvais laisser paraitre aucune réaction puisque j’étais au milieu de deux cents collègues. J’ai senti alors des mains sur mes genoux soulever ma jupe et laisser apparaître mon string blanc en dentelle. L’inconnu sous la table devais maintenant à coup sûr deviner l’humidité qui naissait sur mon string. Il a continué l'exploration avec ses lèvres jusqu'à effleurer l'intérieur de mes cuisses, que j’ai écarté de moi-même pour lui laisser le champ libre. Il a déplacé alors mon string sur le côté de mon pubis, et il a commencé à lécher mes lèvres. Il devait sentir par les mouvements incontrôlés de mes jambes que ça me plaisait de plus en plus, car il a centré son attention sur mon clitoris, qu’il léchait et aspirait sans un bruit. Sentant que je ne maitriserai bientôt plus la situation, j’ai agrippé ses cheveux avec une de mes mains pour lui intimer d'arrêter son jeu. Alors il a retiré ses lèvres et sa langue de mon sexe, mais, une minute plus tard, il y est retourné sans prévenir avec encore plus d'engouement. Ma main se crispait avec force sur ses ...
    ... cheveux comme pour le supplier d'arrêter, mais il continuait, en approchant même ses doigts de l'entrée de mon vagin. Ce contact me fit défaillir, et en même temps que je sentais mes lèvres s'ouvrirent devant deux de ses doigts, je relâchais l'étreinte de ma main, comme signe de ma résignation à le laisser m'accompagner jusqu'au sommet du plaisir. Alors dans un énième mouvement de langue autour de mon clitoris faisant frissonner mon échine, sans rien laisser transparaître à l'extérieur plus qu'un léger mordillement des lèvres et un battement de paupières, à l'intérieur mon corps en feu crépita d'un profond orgasme. Quelques minutes plus tard, la tension redescendue, en guettant les tables situées aux extrémités, je vis sortir Gabriel à quatre pattes de l’une d’elles et se relever, puis partir en direction du hall de l’abbaye comme si de rien n’était. Il avait dû remarquer que les tables où nous étions étaient toutes alignées de manière à ce que personne ne puisse voir ce qu'il se passait en dessous à moins de se baisser. Alors il s’était glissé discrètement tout au bout d'une rangée vide et s’était rapproché de moi en rampant sous les tables jusqu'à reconnaître la jupe que je portais. Sachant maintenant que c’était bien mon copain qui venait de me procurer cette formidable jouissance, je lui écrivis un message :
    
    « Hum merci ! J’ai failli croire qu’un collègue m’avait fait jouir… »
    
    Auquel il me répondit : « dommage hein ?!... », ce qui m’excita de nouveau.
    
    Le soir au ...
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